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Sujet:La Floride en famille (avril-mai 2023) - Disney, Universal, SW, BGA et d'autres... | LazyMom Réponses: 68 Vues: 6909 | Rechercher dans:Trip Reports d'Amérique Sujet: La Floride en famille (avril-mai 2023) - Disney, Universal, SW, BGA et d'autres... Lun 5 Mai 2025 - 21:20 | Jeudi 11 mai - Un truc constructif J'ouvre les yeux un peu avant 8h, et tout le monde dort encore, j'en profite pour aller chercher le petit déjeuner au food court et ramène tout en chambre. Nous décolerons sans nous presser à 9h45, direction Legoland à une heure de route environ. J'ai beaucoup hésité à ajouter Legoland à notre séjour, mais mes petits garçons étant passionnés de petites briques et moi même n'étant pas en reste, je me suis dit que si nous le faisions pas sur ce séjour, on ne le ferait jamais. Alors go!  La route
Nous nous garerons sur le parking à 10h50. Parking qui coûte la coquette somme de 30$. Ils lavent la bagnole à ce prix? Bah même pas. En s'approchant du parc, certaines places sont vendues à 50 feuquine dollars, juste parce qu'elles sont sous les panneaux solaires. Ah il est bien rentabilisé l'investissement. Mais en voyant les gros pick up américains sagement alignés sous les panneaux, à l'ombre mais pas sous ceux qui sont encore au soleil, je commence à ricaner toute seule. C'est quoi qui est drôle? Alors petit malin, laisse moi t'expliquer. En te mettant sous le panneau, c'est que tu veux que ta voiture soit à l'ombre et pas trop bouillante au retour (yeah), et du coup c'est pour ça que tu as choisi une belle place bien fraîche (yeah), et du coup t'as dépensé 50 feuquine dollars pour cette place (fuck yeah), mais tu es au courant que l'ombre, elle bouge dans la journée et que dès 14h, ta caisse, elle sera elle en plein cagnard prête à te cramer le bacon après ta journée sous le soleil ? (oh shit) Et ouais, quand on va à Aqualand chez nous, on respecte bien le protocole sous les panneaux, soleil le matin, ombre l'après-midi. Bon bref, quelques photos et nous voilà dans le parc prêts à visiter des briques. 


 Qu'est tu regardes toi ?

 Même la zone Duplo est mignonne
Premier arrêt, une petite tour de chute. RAS, c'set mignon, ça monte et ça descend. 
Next, la montagne russe. Et quelle montagne russe: Dragon. Si les enfants y montent avec enthousiaste, nous, les parents savons que nous allons passer un sale quart d'heure. Pif, paf, ouille, tour fini. Je sors de ma place avec Leo qui était à côté de moi, Arthur et son père sortent également, et je vois mon aîné se pencher vers le dessous du train et analyser le chassis avec intérêt et curiosité. Il relève la tête et dit à son père d'un ton circonspect «Bah nan, elle sont pas carrées les roues». Fou rire. Nous nous dirigeons ensuite vers le Splash Battle. Arthur, tu veux le faire? Ça mouille? Boarf, si peu (regarde les gens s'arroser dans les bateaux), nan, j'veux pas. Pfff Alors nous attendons. Il commence doucement à se faire l'heure de déjeuner, j'avais vu qu'il y avait un buffet, mais c'est fermé. Dommage. Il est plus de midi, et le soleil tape fort, très fort. On se rend dans un des rares trucs ouverts, un resto à burger. 'Murica. Ou plutôt un restos à burger, c'est pareil, mais en gras, très gras, trop gras. Et c'est moyen compatible avec la chaleur de plus en plus étouffante.  Au moins, le voisin de table est mignon
Bon clairement, on est venus jusque là, on va faire un max d'attractions mais on ne va pas s'éterniser. Arthur et son père filent faire Flying School dans que j'enverrai Neo conduire des petites voitures dans Driving School... en boucle. Le temps ensuite pour moi d'aller valider le crédit sur Flying School avec Arthur. Et franchement c'est à peine plus confortable que Dragon. 
On se finira sur la Wild Mouse, dernière attraction. Mais la combinaison chaleur+gras auront raison de mon chéri qui sentira monter une grosse migraine. 

On traînera dans la zone mini world, toujours très sympa. 

 Il est bien fait Godzilla, dis-donc
 Nan, mais sérieux, d'où ils sortent que j'ai assez de Lego ? Chuis laaarge
Puis nous prendrons la direction de la sortie. On s'arrêtera dans une salle avec des lego en libre services pour faire des constructions, on profitera également de nous rafraîchir sous la clim. 
 Et ils construisent quoi? Des manèges, of course !

En traversant le parking, je retrouve les fameuses voitures qui étaient à l'ombre le matin, bien au soleil sous le panneau. Remarque notre voiture était bouillante mais on s'y attendait et ça nous aura coûté 20 dollars de moins. Retour à la voiture à 16h00. Nous serons dans notre chambre à 18h. Monsieur ira dormir de suite, quant à moi et les enfants... Mystère. C'est pas écrit dans mes notes. Alors on va dire que je suis une super maman et que je les ai emmené piquer une tête dans la piscine! (Même si il y a de fortes chances que nous nous soyons tous croûtés devant la télé jusqu'à ce que m sommeil s'ensuive)... | Sujet:Vaiana 2 [Walt Disney - 2024] | Princess Meg Réponses: 327 Vues: 49178 | Rechercher dans:Les Films d'Animation Sujet: Vaiana 2 [Walt Disney - 2024] Mer 4 Déc 2024 - 22:20 | - L'aubergiste a écrit:
- Déjà le terme de film "malade" ça n'est pas nouveau ou surprenant... Il y a même un métier qui s'appelle Script Doctor qui vient de là et qui œuvre sur ce genre de film (et ce fut le cas pour Vaiana 2 ou Blanche Neige par exemple). Donc un film dont la naissance est un retravail d'une série télé (et dont ça se voit à fond) forcément le terme "film malade" si applique. Il y a des films malades qui sont excellent, ce n'est pas une insulte, c'est un terme courant utilisé dans l'industrie. Pour info je travail depuis 25 ans dans le milieu du cinéma et le terme "film malade" a tjs existé.
Merci pour l'information, je ne connaissais pas ce terme (bien que je le trouve un peu négatif, je peux comprendre le sens. On pourrait ainsi utiliser ce terme pour Taram et le Chaudron Magique qui a connu une production pour le moins houleuse). - L'aubergiste a écrit:
- Ensuite non, Encanto n'a pas du tout marché lors de sa sortie en salles, ça c'est factuel... Il n'a même pas fait 100 millions US malgré un excellent bouche a oreille et a fait seulement 261 aux mondials, bien moins que Sing 2 sorti au même moment... Il n'était pas dans le top 15 de l'année. C'est un échec en salle (pas une catastrophe comme Avalonia et Wish mais un échec). Son budget étant entre 120 et 150 millions, il lui aurait fallu minimum 400 millions pour etre rentable en salle, on en était loin. C'est sur Disney+ qu'il a cartonné. Le film est aujourd'hui populaire mais n'a absolument pas été un succès.
Le film étant sorti en 2021 (à une période où le public n'avait pas encore pleinement repris l'habitude de revenir voir les films en salles), cet échec n'est pas étonnant. Après oui je parlais principalement de son succès sur Disney+ (Vaiana a lui aussi connu son succès grâce à Disney+). C'est intéressant que tu dises que le film est populaire mais n'a pas été un succès mais est populaire. Car dans mon esprit, le fait que le film soit populaire est une forme de succès, je ne serai par exemple pas étonné qu'Encanto se voit un jour attribué une suite car aujourd'hui le film est pas mal ancré dans les mémoires alors qu'il est somme toute assez récent. - L'aubergiste a écrit:
- Après tu mélange un peu... Biensur le succès d'un film n'a aucun raport avec sa qualité et son appréciation et je ne me base absolument pas la dessus justement. Le succès de Vaiana 2 était par exemple assuré quelque soit la qualité du film. Son succès n'est basé que sur la popularité de Vaiana 1. Les notes du public sur IMDB n'ont aucun rapport avec le succès au box office, je ne sais pas pourquoi tu fais ce lien bizare et ce raccourci "succès/bonne note imdb". Furiosa, un des plus gros bide de l'année, à une excellente côte sur les sites de notations. Godzilla x Kong une très mauvaise note. Ça donne un ressenti "globale" de comment le public (très large) à apprécié une oeuvre. Le fait que Vaiana ai une note légèrement supérieure à Frozen sur ces différents sites laissent sous entendre que oui, il est probable qu'il est de manière générale considéré comme mieux par le grand public. Ça n'a rien d'objectif, c'est juste l'avis d'un panel le plus large possible
Effectivement j'ai pu me mélanger un peu les pinceaux. Merci d'avoir davantage explicité ta pensée. J'avoue qu'à l'heure actuelle je ne me penche pas vraiment sur les sites de notations car je me fiche généralement de l'avis global et préfère me faire ma propre opinion sur un film. Et je peux comprendre que tu penses que Vaiana soit sous-côtée étant donné que j'ai moi-même du mal à imaginer que cette princesse (qui n'en est pas vraiment une) soit plus populaire qu'Elsa. Peut-être que les gens se sont un peu lassés de la franchise ? Quoique je suis vraiment très curieux de voir comment marcheront les deux prochaines suites de La Reine des Neiges. À titre personnel je ne serais pas étonné qu'elles fassent mieux que La Reine des Neiges II, voir même que Vaiana 2 (mais c'est un ressenti personnel). - L'aubergiste a écrit:
- Pour ce qui est du Roi Lion, tu penses vraiment que le public ultra restreint qui connaît le lore représente quoique se soit de conséquent dans le succès potentiel du film? Pour la grande majorité du public (au moins 90%) c'est le prequel du film de 2019 et c'est tout.
Ultra restreint pas forcément (bon pour les livres de 1994 oui c'est sûr, mais Le Roi Lion II : L'honneur de la tribu a très bien marché à l'époque et continue de marquer les esprits, sinon je doute qu'ils auraient intégré Kiara, grande première dans l'histoire des remakes qui avaient jusqu'ici totalement occulté les suites DisneyToons). - ico a écrit:
- Je m'attends donc à un ravissement visuel et technique. La plus grosse inconnue restera le fond et la capacité de Disney à faire bien mieux niveau suite : ce qu'il n'a pas vraiment réussi jusque là.
C'est oublier le génialissime Bernard et Bianca au Pays des Kangourous qui a réussi l'exploit de faire mieux que son prédécesseur. J'imagine que tu faisais référence aux suites récentes mais en tous cas le studio a déjà réussi à faire des suites tout aussi bonnes sinon mieux que l'original par le passé. | Sujet:Vaiana 2 [Walt Disney - 2024] | L'aubergiste Réponses: 327 Vues: 49178 | Rechercher dans:Les Films d'Animation Sujet: Vaiana 2 [Walt Disney - 2024] Mer 4 Déc 2024 - 21:47 | - Princess Meg a écrit:
- L'aubergiste a écrit:
- Le public s'en fout, il va voir des films d'animations qu'il veut voir, et ça se limite aux franchises simplement pour l'instant. Alors Disney a bidé à mort post covid mais le public a juste été voir d'autres films d'animations (Mario, Minion, Chat Poté,...) Bref des franchises...
Encanto a quand même pas mal marché, pourtant ce n'est pas (encore) une franchise... Logique que les gens aillent voir les suites (pas pour rien qu'elles sont faite, ces suites), mais c'est encore une dois réducteur de dire que seules les franchises fonctionnent. - L'aubergiste a écrit:
- Pour ce qui est du ressenti globale, vu que Vaiana est mieux notés que Frozen sur IMDB, Rotten Tomatoes, Allociné,... j'aurais tendance à dire que oui, globalement ce n'est pas qu'un point de vue mais plutôt un ressenti général
.Il ne faut pas confondre popularité/succès au box-office et qualité artistique. De ce que je comprends tu sembles penser que Vaiana est plus qualitatif que La Reine des Neiges (ce qui est ton droit, l'art est subjectif), mais on peut difficilement en tirer qu'il est plus qualitatif en se basant sur le box-office. Comme tu le dis toi-même, Vaiana 2 a super bien marché au box-office alors qu'il est, selon toi, "pourri et malade" (termes que je n'aurais jamais pensé entendre un jour pour décrire un film, mais passons...). Donc tu es d'accord pour dire que la qualité artistique d'un film et sa popularité au box-office où sur les sites comme Rotten, ce sont de choses différentes et pas forcément intrinsèquement liées... Personnellement je suis de ceux qui ne se base pas nécessairement des notes d'Allociné ou autre pour décréter si un film est qualitatif ou non. Ces chiffres peuvent uniquement déterminer si le film est populaire ou non (et encore, ça ne peut suffire pour se faire une idée, car autant un film peut ne pas marcher au cinéma mais cartonner sur le marché de la vidéo ou en streaming...) - L'aubergiste a écrit:
- La Mufasa doit capitaliser non pas sur le dessin animé de 1994 mais sur le live action. C'est bcp plus compliqué. Le film va marcher forcément (il va avoir les fêtes pour lui) mais sûrement moins bcp moins que le 1er et que Vaiana et Wicked.
C'est bien pour ça que Barry Jenkins a opéré des changements par rapport au remake de 2019 (ce film n'a rien d'un live action). Les couleurs y seront plus vives et les expressions des personnages moins réalistes mais plus expressives et attrayantes. Par ailleurs ce film est loin de capitaliser uniquement sur le remake de 2019... Kiara vient de la suite DisneyToon de 1998. Taka (nom de Scar jeune) vient de la série de livres Le Roi Lion - Six Nouvelles Aventures. Bref, ce film est basé sur tout le lore du (Le) Roi Lion, tout autant sinon plus que le remake de 2019 qui se limitait au film de 1994.
Oiula, il y a bcp à dire... Déjà le terme de film "malade" ça n'est pas nouveau ou surprenant... Il y a même un métier qui s'appelle Script Doctor qui vient de là et qui œuvre sur ce genre de film (et ce fut le cas pour Vaiana 2 ou Blanche Neige par exemple). Donc un film dont la naissance est un retravail d'une série télé (et dont ça se voit à fond) forcément le terme "film malade" si applique. Il y a des films malades qui sont excellent, ce n'est pas une insulte, c'est un terme courant utilisé dans l'industrie. Pour info je travail depuis 25 ans dans le milieu du cinéma et le terme "film malade" a tjs existé. Ensuite non, Encanto n'a pas du tout marché lors de sa sortie en salles, ça c'est factuel... Il n'a même pas fait 100 millions US malgré un excellent bouche a oreille et a fait seulement 261 aux mondials, bien moins que Sing 2 sorti au même moment... Il n'était pas dans le top 15 de l'année. C'est un échec en salle (pas une catastrophe comme Avalonia et Wish mais un échec). Son budget étant entre 120 et 150 millions, il lui aurait fallu minimum 400 millions pour etre rentable en salle, on en était loin. C'est sur Disney+ qu'il a cartonné. Le film est aujourd'hui populaire mais n'a absolument pas été un succès. Après tu mélange un peu... Biensur le succès d'un film n'a aucun raport avec sa qualité et son appréciation et je ne me base absolument pas la dessus justement. Le succès de Vaiana 2 était par exemple assuré quelque soit la qualité du film. Son succès n'est basé que sur la popularité de Vaiana 1. Les notes du public sur IMDB n'ont aucun rapport avec le succès au box office, je ne sais pas pourquoi tu fais ce lien bizare et ce raccourci "succès/bonne note imdb". Furiosa, un des plus gros bide de l'année, à une excellente côte sur les sites de notations. Godzilla x Kong une très mauvaise note. Ça donne un ressenti "globale" de comment le public (très large) à apprécié une oeuvre. Le fait que Vaiana ai une note légèrement supérieure à Frozen sur ces différents sites laissent sous entendre que oui, il est probable qu'il est de manière générale considéré comme mieux par le grand public. Ça n'a rien d'objectif, c'est juste l'avis d'un panel le plus large possible. Moi je ne base absolument pas sur les notes allociné pour déterminer la valeur d'un film. Je dis juste que c,'est révélateur d'une appréciation "globale" d'une œuvre. Pour ce qui est du Roi Lion, tu penses vraiment que le public ultra restreint qui connaît le lore représente quoique se soit de conséquent dans le succès potentiel du film? Pour la grande majorité du public (au moins 90%) c'est le prequel du film de 2019 et c'est tout. | Sujet:Alien : Romulus [20th Century - 2024] | Dash Réponses: 53 Vues: 8514 | Rechercher dans:Les Films Live Action Sujet: Alien : Romulus [20th Century - 2024] Mer 21 Aoû 2024 - 11:49 | Quelle beauté ce film. La photo, la lumière, les vaisseaux, la ceinture d'astéroïde, le mixage sonore... Et ces titrages façon années '70... Je l'ai vu en IMAX et c'était splendide. À noter que c'est un des rares films de l'année (après Dune - Deuxième Partie et Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire) à proposer un ratio de 1.90:1 (26% d'image en plus en haut et en bas). Il faut vraiment le voir au cinéma ! | Sujet:Ratatouille : L'Aventure Totalement Toquée de Rémy - En 2D [Worlds of Pixar - 2024] | Michael Scott Réponses: 253 Vues: 24673 | Rechercher dans:Disneyland Paris Sujet: Ratatouille : L'Aventure Totalement Toquée de Rémy - En 2D [Worlds of Pixar - 2024] Lun 29 Avr 2024 - 17:53 | - Dash a écrit:
- Colonel_Impey a écrit:
- La 3D est un effet de mode aujourd'hui dépassé. Pas de sorties de films 3D, disparition des TV et des lecteurs B-R 3D (et donc des B-R 3D tout court). Ce n'est plus un argument de vente.
Sur les 12 derniers mois, 15 films sont sortis en 3D au cinéma, en France : Super Mario Bros. - Le Film Les Gardiens de la Galaxie, Vol. 3 Fast and Furious 10 La Petite Sirène Transformers : Rise of the Beast Élémentaire Ninja Turtles : Teenage Years En Eaux Très Troubles The Marvels Les Trolls 3 Wish - Asha et la Bonne Étoile Migration Aquaman et le Royaume Perdu Kung Fu Panda 4 Godzilla x Kong : Le Nouvel EmpireQue la 3D ne soit quasiment plus utilisée à domicile, c'est un fait, mais elle reste à l'évidence un argument réel pour les salles de cinéma, ou ces films n'existeraient pas en 3D. À noter qu'elle est aussi disponible sur Disney+ et Apple TV pour les possesseurs d'un Apple Vision Pro. Une niche, certes, mais qui peut éventuellement s'élargir si ce type de produit s'étend davantage. Quoiqu'il en soit, s'il y a bien un endroit où son utilisation prospère, c'est dans les parcs d'attraction. Concernant Ratatouille : L'Aventure Totalement Toquée de Rémy, la question n'est pas tant de juger si la 3D était une bonne idée pour cette attraction, il aurait fallu se poser cette question lors de sa conception. Le fait est qu'elle est importante pour la bonne appréciation de l'attraction telle qu'elle existe aujourd'hui. Si on ne veut pas de 3D, alors qu'on fasse une refonte globale de l'attraction avec ajout d'éléments de décors devant les écrans pour améliorer leur intégration, changement de certaines scènes animées pour éviter les attentes d'éléments jaillissants désormais déceptifs, etc. On pourrait d'ailleurs bien plus facilement se passer de la 3D dans Star Tours : L'Aventure Continue même s'il reste notamment le problème du vaisseau jaune perçant le hublot sur Naboo.
Ce n'est pas du tout un bon argument. Déjà le commun des mortels hors des grandes villes (et donc des grands cinémas) n'ont pas ou peu la 3D proposée. Comme la VO d'ailleurs. Chez moi c'est impossible de voir un film en VO par exemple. La 3D c'est le même combat. D'autre part, tu parles là d'une période où les cinémas n'ont jamais été aussi vides. Les prix sont le principal fautif mais la 3D n'est pas une technologie convaincante, elle n'attire pas les masses. En réalité la majorité des gens n'aime pas ou s'en moque complètement. | Sujet:Ratatouille : L'Aventure Totalement Toquée de Rémy - En 2D [Worlds of Pixar - 2024] | Dash Réponses: 253 Vues: 24673 | Rechercher dans:Disneyland Paris Sujet: Ratatouille : L'Aventure Totalement Toquée de Rémy - En 2D [Worlds of Pixar - 2024] Lun 29 Avr 2024 - 16:38 | - Colonel_Impey a écrit:
- La 3D est un effet de mode aujourd'hui dépassé. Pas de sorties de films 3D, disparition des TV et des lecteurs B-R 3D (et donc des B-R 3D tout court). Ce n'est plus un argument de vente.
Sur les 12 derniers mois, 15 films sont sortis en 3D au cinéma, en France : Super Mario Bros. - Le Film Les Gardiens de la Galaxie, Vol. 3 Fast and Furious 10 La Petite Sirène Transformers : Rise of the Beast Élémentaire Ninja Turtles : Teenage Years En Eaux Très Troubles The Marvels Les Trolls 3 Wish - Asha et la Bonne Étoile Migration Aquaman et le Royaume Perdu Kung Fu Panda 4 Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire Que la 3D ne soit quasiment plus utilisée à domicile, c'est un fait, mais elle reste à l'évidence un argument réel pour les salles de cinéma, ou ces films n'existeraient pas en 3D. À noter qu'elle est aussi disponible sur Disney+ et Apple TV pour les possesseurs d'un Apple Vision Pro. Une niche, certes, mais qui peut éventuellement s'élargir si ce type de produit s'étend davantage. Quoiqu'il en soit, s'il y a bien un endroit où son utilisation prospère, c'est dans les parcs d'attraction. Concernant Ratatouille : L'Aventure Totalement Toquée de Rémy, la question n'est pas tant de juger si la 3D était une bonne idée pour cette attraction, il aurait fallu se poser cette question lors de sa conception. Le fait est qu'elle est importante pour la bonne appréciation de l'attraction telle qu'elle existe aujourd'hui. Si on ne veut pas de 3D, alors qu'on fasse une refonte globale de l'attraction avec ajout d'éléments de décors devant les écrans pour améliorer leur intégration, changement de certaines scènes animées pour éviter les attentes d'éléments jaillissants désormais déceptifs, etc. On pourrait d'ailleurs bien plus facilement se passer de la 3D dans Star Tours : L'Aventure Continue même s'il reste notamment le problème du vaisseau jaune perçant le hublot sur Naboo. | Sujet:MonsterVerse - avec Godzilla et Kong - la saga [Warner - 2014-2024] | ico Réponses: 29 Vues: 4320 | Rechercher dans: Sujet: MonsterVerse - avec Godzilla et Kong - la saga [Warner - 2014-2024] Ven 19 Avr 2024 - 15:21 | - Dash a écrit:
- Déjà 5 films et 2 séries composent ce MonsterVerse entamé il y a 10 ans avec le Godzilla de Gareth Edwards.
Il y a, en plus, un côté exploration/aventure sympa. Sans compter le format IMAX 3D qui rend tout ça extrêmement spectaculaire. Les critiques du film ne sont pas très bonnes, par ailleurs, mais j'avoue que ça a été un plaisir coupable.
J'ai tout vu. Toujours surpris de voir ce Monsterverse continuer son bonhomme de chemin, avec un certain succès. J'ai aimé le nouveau Godzilla x Kong. Même si on est plus sur un film d'1h30 d'abord centré sur Kong avant que le scénario se rappelle qu'il y a Godzilla Une trajectoire plutôt intéressante pour le gorille, plaisante à suivre. Contrairement au précédent, Godzilla vs Kong, ce nouveau film assume plus ce qu'il veut faire et le côté quasiment accessoire des humains. On a droit à des persos tout droit sorti des années 90, volontairement cliché mais ça passe. Plus qu'un plaisir coupable, c'est un film qui ne ment pas sur la marchandise, là où le précédent était un peu plus timoré au final. La série Monarch est également à voir. Elle développe un peu plus certains personnages et étoffe le "lore" de ce Monsterverse, avec un meilleur traitement que dans les films. | Sujet:MonsterVerse - avec Godzilla et Kong - la saga [Warner - 2014-2024] | Dash Réponses: 29 Vues: 4320 | Rechercher dans: Sujet: MonsterVerse - avec Godzilla et Kong - la saga [Warner - 2014-2024] Ven 19 Avr 2024 - 15:20 | Ce sont des films Warner donc ils sont sur Max dans les pays où la plateforme existe (cet été en France). Aujourd'hui, en France, on peut trouver Kong : Skull Island et Godzilla vs Kong sur Netflix mais comme tu es en Turquie, il va falloir que tu vérifies de ton côté.  Il y a plein d'autres monstres dans cet univers mais ce sont des personnages plutôt secondaires. Concernant Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire, il est actuellement au cinéma. | Sujet:MonsterVerse - avec Godzilla et Kong - la saga [Warner - 2014-2024] | isanka Réponses: 29 Vues: 4320 | Rechercher dans: Sujet: MonsterVerse - avec Godzilla et Kong - la saga [Warner - 2014-2024] Ven 19 Avr 2024 - 15:16 | Merci, @Dash. Ils sont disponibles sur quelle plateforme en français ? On cherchait justement une série de films à regarder. Ce MonstreVerse comprend seulement Godzilla et Kong? Ou il y a d’autres monstres plus ou moins célèbres ? | Sujet:MonsterVerse - avec Godzilla et Kong - la saga [Warner - 2014-2024] | Dash Réponses: 29 Vues: 4320 | Rechercher dans: Sujet: MonsterVerse - avec Godzilla et Kong - la saga [Warner - 2014-2024] Ven 19 Avr 2024 - 14:58 | Déjà 5 films et 2 séries composent ce MonsterVerse entamé il y a 10 ans avec le Godzilla de Gareth Edwards. 01. Godzilla (2014 - film) 02. Kong : Skull Island (2017 - film) 03. Godzilla II : Roi des Monstres (2019 - film) 04. Godzilla vs Kong (2021 - film) 05. Skull Island (2023 - série) 06. Monarch - Legacy of Monsters (2023 - série) 07. Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire (2024 - film) Je n'ai pas vu les séries mais j'ai vu tous les films et globalement, j'ai passé un bon moment devant chacun d'entre eux. J'ai particulièrement bien aimé Kong : Skull Island et le tout nouveau Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire actuellement en salles. En fait, je préfère largement tout ce qui entoure Kong plutôt que Godzilla, aimant particulièrement l'expressivité du personnage et le côté nature qui l'entoure. Dans le dernier film, on se concentre beaucoup plus sur Kong ainsi que sur d'autres gorilles, dont un bébé plutôt mignon. Il y a, en plus, un côté exploration/aventure sympa. Sans compter le format IMAX 3D qui rend tout ça extrêmement spectaculaire. Les critiques du film ne sont pas très bonnes, par ailleurs, mais j'avoue que ça a été un plaisir coupable. | Sujet:Vaiana 2 [Walt Disney - 2024] | Tai magnificus Réponses: 327 Vues: 49178 | Rechercher dans:Les Films d'Animation Sujet: Vaiana 2 [Walt Disney - 2024] Jeu 4 Avr 2024 - 0:08 | 
Avez-vous remarquer la bête cachée derrière Vaiana ? En gros j'ai l'impression que Vaiana va devoir se battre contre un kaïju (Un monstre comme Godzilla et King Kong) et c'est vrai que l'animation 3D a réellement baissé comparée au film originale paru en 2016. Et quand on l'inverse ? On dirait un dinosaure ou un monstre des mers. 
| Sujet:The Oscars [ABC Entertainment] - Nominations 2025 dispo ! | Dash Réponses: 811 Vues: 40604 | Rechercher dans:Les Émissions Sujet: The Oscars [ABC Entertainment] - Nominations 2025 dispo ! Mar 23 Jan 2024 - 17:07 | | Sujet:The Oscars [ABC Entertainment] - Nominations 2025 dispo ! | Dash Réponses: 811 Vues: 40604 | Rechercher dans:Les Émissions Sujet: The Oscars [ABC Entertainment] - Nominations 2025 dispo ! Mar 23 Jan 2024 - 16:48 | Les nominations aux Oscars sont tombées. En bleu, les nominations des studios Disney. Meilleur film Fiction à l'Américaine Anatomie d'une Chute Barbie Winter Break Killers of the Flower Moon Maestro Oppenheimer Past Lives - Nos Vies d'Avant Pauvres Créatures La Zone d'Intérêt Meilleur film d'animation Le Garçon et le Héron – Hayao Miyazaki & Toshio Suzuki Élémentaire – Peter Sohn & Denise Ream Nimona – Nick Bruno, Troy Quane, Karen Ryan & Julie Zackary Mon Ami Robot – Pablo Berger, Ibon Cormenzana, Ignasi Estapé & Sandra Tapia Díaz Spider-Man : Across the Spider-Verse – Kemp Powers, Justin K. Thompson, Phil Lord, Christopher Miller & Amy Pascal Meilleur film international Moi, Capitaine (Italie) – réalisé par Matteo Garrone Perfect Days (Japon) – réalisé par Wim Wenders Le Cercle des Neiges (Espagne) – réalisé par J.A. Bayona La Salle des Profs (Allemagne) – réalisé par İlker Çatak La Zone d'Intérêt (Royaume-Uni) – réalisé par Jonathan Glazer Meilleur film documentaire Bobi Wine : Pour la Démocratie – Moses Bwayo, Christopher Sharp & John Battsek La Memoria Infinita Les Filles d'Olfa – Kaouther Ben Hania & Nadim Cheikhrouha Tuer un Tigre – Nisha Pahuja, Cornelia Principe & David Oppenheim 20 Jours à Marioupol – Mstyslav Chernov, Michelle Mizner & Raney Aronson-Rath Meilleur réalisation Justine Triet – Anatomie d'une Chute Martin Scorsese – Killers of the Flower Moon Christopher Nolan – Oppenheimer Yorgos Lanthimos – Pauvres Créatures Jonathan Glazer – La Zone d'Intérêt Meilleur acteur Bradley Cooper – Maestro Colman Domingo – Bayard Rustin Paul Giamatti – Winter Break Cillian Murphy – Oppenheimer Jeffrey Wright – American Fiction Meilleure actrice Annette Bening – Insubmersible Lily Gladstone – Killers of the Flower Moon Sandra Hüller – Anatomie d'une Chute Carey Mulligan – Maestro Emma Stone – Pauvres Créatures Meilleur acteur dans un second rôle Sterling K. Brown – American Fiction Robert De Niro – Killers of the Flower Moon Robert Downey Jr. – Oppenheimer Ryan Gosling – Barbie Mark Ruffalo – Pauvres Créatures Meilleure actrice dans un second rôle Emily Blunt – Oppenheimer Danielle Brooks – La Couleur Pourpre America Ferrera – Barbie Jodie Foster – Insubmersible Da'Vine Joy Randolph – Winter Break Meilleur scénario original Anatomie d'une Chute – Justine Triet and Arthur Harari Winter Break – David Hemingson Maestro – Bradley Cooper and Josh Singer May December – Samy Burch Past Lives - Nos Vies d'Avant – Celine Song Meilleur scénario adapté American Fiction – Cord Jefferson Barbie – Greta Gerwig & Noah Baumbach Oppenheimer – Christopher Nolan Pauvres Créatures – Tony McNamara La Zone d'Intérêt – Jonathan Glazer Meilleure photographie Le Comte – Edward Lachman Killers of the Flower Moon – Rodrigo Prieto Maestro – Matthew Libatique Oppenheimer – Hoyte van Hoytema Pauvres Créatures – Robbie Ryan Meilleur montage Anatomie d'une Chute – Laurent Sénéchal Winter Break – Kevin Tent Killers of the Flower Moon – Thelma Schoonmaker Oppenheimer – Jennifer Lame Pauvres Créatures – Yorgos Mavropsaridis Meilleurs costumes Barbie – Jacqueline Durran Killers of the Flower Moon – Jacqueline West Napoléon – Janty Yates and Dave Crossman Oppenheimer – Ellen Mirojnick Pauvres Créatures – Holly Waddington Meilleure direction artistique Barbie – Sarah Greenwood Killers of the Flower Moon – Jack Fisk Napoléon – Arthur Max Oppenheimer – Ruth De Jong Pauvres Créatures – James Price & Shona Heath Meilleurs maquillages et costumes Golda – Karen Hartley Thomas, Suzi Battersby & Ashra Kelly-Blue Maestro – Kazu Hiro, Kay Georgiou & Lori McCoy-Bell Oppenheimer – Luisa Abel Pauvres Créatures – Nadia Stacey, Mark Coulier & Josh Weston Le Cercle des Neiges – Ana López-Puigcerver, David Martí & Montse Ribé Meilleur son The Creator – Ian Voigt, Erik Aadahl, Ethan Van der Ryn, Tom Ozanich & Dean Zupancic Maestro – Richard King, Steve Morrow, Tom Ozanich, Jason Ruder & Dean Zupancic Mission : Impossible – Dead Reckoning Partie 1 – Chris Munro, James H. Mather, Chris Burdon & Mark Taylor Oppenheimer – Willie Burton, Richard King, Kevin O’Connell & Gary A. Rizzo La Zone d'Intérêt – Johnnie Burn and Tarn Willers Meilleure musique American Fiction – Laura Karpman Indiana Jones et le Cadran de la Destinée – John Williams Killers of the Flower Moon – Robbie Robertson Oppenheimer – Ludwig Göransson Pauvres Créatures – Jerskin Fendrix Meilleure chanson "The Fire Inside", Flamin' Hot – Diane Warren "I'm Just Ken", Barbie – Mark Ronson & Andrew Wyatt "It Never Went Away", American Symphony – Jon Batiste & Dan Wilson "Wahzhazhe (A Song For My People)", Killers of the Flower Moon – Scott George "What Was I Made For?", Barbie – Billie Eilish & Finneas O'Connell Meilleurs effets visuels The Creator – Jay Cooper, Ian Comley, Andrew Roberts & Neil Corbould Godzilla/Minus One – Takashi Yamazaki, Kiyoko Shibuya, Masaki Takahashi & Tatsuji Nojima Les Gardiens de la Galaxie, Vol. 3 – Stephane Ceretti, Alexis Wajsbrot, Guy Williams & Theo Bialek Mission : Impossible – Dead Reckoning Partie 1 – Alex Wuttke, Simone Coco, Jeff Sutherland & Neil Corbould Napoléon – Charley Henley, Luc-Ewen Martin-Fenouillet, Simone Coco and Neil Corbould Meilleur court-métrage live action L'Après – Misan Harriman & Nicky Bentham Invincible – Vincent René-Lortie & Samuel Caron Knight of Fortune – Lasse Lyskjær Noer & Christian Norlyk Red, White and Blue – Nazrin Choudhury & Sara McFarlane La Merveilleuse Histoire de Henry Sugar – Wes Anderson & Steven Rales Meilleur court-métrage d'animation Lettre à un Cochon – Tal Kantor & Amit R. Gicelter Ninety-Five Senses – Jerusha Hess & Jared Hess Notre Uniforme – Yegane Moghaddam Pachyderme – Stéphanie Clément & Marc Rius War Is Over! – Dave Mullins & Brad Booker Meilleur court-métrage documentaire Petite Histoire de la Censure Littéraire – Sheila Nevins & Trish Adlesic The Barber of Little Rock – John Hoffman & Christine Turner Island in Between – S. Leo Chiang & Jean Tsien The Last Repair Shop – Ben Proudfoot & Kris Bowers Nǎi Nai & Wài Pó – Sean Wang & Sam Davis | Sujet:L'actualité des sorties en librairie | Vinc Réponses: 1007 Vues: 50384 | Rechercher dans: Sujet: L'actualité des sorties en librairie Jeu 4 Jan 2024 - 4:02 | Publié à l'automne par Insight Editions : The Art of the Creator: Designs of Futures Past de James Mottram (Insight Editions, 2023)  Description de l'éditeur : Discover the secrets behind the creation of director Gareth Edwards's remarkable science-fiction adventure, The Creator. Dive into the making of The Creator, an original science fiction adventure from director Gareth Edwards (Rogue One: A Star Wars Story, Godzilla), with this deluxe behind-the-scenes book. Amid a war between humankind and rampant artificial intelligence in the not-too-distant future, Joshua (John David Washington) is recruited to hunt down and kill the Creator, the elusive architect of the advanced AI. In his efforts to defeat the AI, Joshua discovers that the world-ending weapon he's been instructed to destroy is an AI in the form of a young child. Featuring commentary from Gareth Edwards and his crew, including production designer James Clyne, plus the extraordinary cast including John David Washington, Gemma Chan, Allison Janney, and Ken Watanabe, this exclusive volume tells the full story of the film's creation. Illustrated with stunning visuals from the production of the movie, including remarkable concept art that charts the film's evolution, this book is the ultimate companion to one of the most original and innovative films of 2023. NEVER-BEFORE-SEEN IMAGERY : Go behind the scenes of The Creator with candid photos from the shoot and exclusive production art. INTERVIEWS WITH CREATORS AND CAST : Dive into the creation of the film through exclusive interviews with director Gareth Edwards, his crew, and the film's cast. EXPERIENCE THE CREATIVE JOURNEY : Follow The Creator through its entire creative process, from script to screen, told from the point of view of the film's director, his crew and the producers at New Regency. | Sujet:Wish - Asha et la Bonne Étoile [Walt Disney - 2023] | Epic-say Réponses: 579 Vues: 81477 | Rechercher dans:Les Films d'Animation Sujet: Wish - Asha et la Bonne Étoile [Walt Disney - 2023] Mer 20 Déc 2023 - 3:33 | ça en dit long sur l'échec du film, car ce sont des résultats qui demeurent anormalement faibles meme pour la France à mon sens. A ce moment précis en France, Wish c'est toujours moins d'entrées que Napoléon et Le Garçon et le Héron. Deux films déjà pas bien folichons sur le plan critique et qui n'ont pas fait le plein en salle. Et même Hunger Games est aussi devant ... Autrement dit le film de Disney s'est fondu dans la masse ici comme partout. Wonka a débarqué, le bouche à oreille est très bon de mon coté ... Il lui faudra moins de deux semaines pour faire son million d'entrée également, ça surpassera probablement le score de Wish sur le long terme. Les 3 mousquetaires se placent aussi deuxième du Box office hebdo avec 700 000 entrées en une semaine, pas mal ... Et encore la France limite la casse de la concurrence, avec l'absence de Godzilla qui a cartonné. Prions pour des bonnes vacances, mais le film a déjà un mois dans les pates ... La consolation qu'on peut trouver c'est Migration et ses canards qui ont vite pris du plomb dans l'aile et ont dégringolés encore plus bas que Wish cela dit. Une "non menace" venant de Illuminations. | Sujet:Wish - Asha et la Bonne Étoile [Walt Disney - 2023] | Epic-say Réponses: 579 Vues: 81477 | Rechercher dans:Les Films d'Animation Sujet: Wish - Asha et la Bonne Étoile [Walt Disney - 2023] Mer 13 Déc 2023 - 4:30 | Plus de 200 millions, hors marketing. Deux fois plus cher que Super Mario Bros ou que Spider-Man across the Spiderverse en comparaison. Hélas le cauchemar du box office domestique ( US ) continue et empire même. Car même des films à mon sens plus médiocres et bien moins attractifs passent encore devant ( Trolls 3 et Le Garçon et le Héron, venant de sortir aux US ). Et curieusement des films comme Hunger Games ou le dernier Godzilla font toujours plus d'entrées encore ne laissant aucune place à Asha ... A ce stade, sauf miracle, on est bel et bien sur un ultime et énième échec de Disney qui n'est plus en odeur de sainteté sur son propre sol américain, un rejet massif et bien réel reflétant un désamour du public outre atlantique qui pèse très très lourd dans la balance. | Sujet:Universal Studios United Kingdom [Royaume-Uni - 2031] | SphinX Réponses: 594 Vues: 37788 | Rechercher dans:L'Europe Sujet: Universal Studios United Kingdom [Royaume-Uni - 2031] Dim 10 Déc 2023 - 16:56 | - XenoYoSh a écrit:
- Envie du hurler
Le coup des chinois qui BIEN ÉVIDEMMENT déboulent dans cette histoire...
Les Chinois (du FBI Marie-José Perec) sont les actionnaires principaux de Legendary Pictures, qui bossent régulièrement avec Universal (Godzilla, King Kong ...) Et accessoirement, l'un des vendeurs de Port Aventura, Andrea Bonomi , doit "bien apprécier" les Chinois du groupe Fosun depuis sa prise de contrôle ratée du Club Med. | Sujet:[29 juillet au 20 août] L'ouest américain en plein été ! | Beldelen Réponses: 235 Vues: 25758 | Rechercher dans:Trip Reports d'Amérique Sujet: [29 juillet au 20 août] L'ouest américain en plein été ! Sam 18 Nov 2023 - 14:03 | 33] 12 août (2/2) : Walk of Fame et soirée au Magic Castle Club A] La chambre du Magic Castle Nous reprenons la route après la visite des studios Warner pour retourner dans notre hôtel. Il fait toujours aussi beau et chaud. C’est agréable ! D’autant que les paysages de Los Angeles sont superbes. 
Nous croisons un camion de pompier assez impressionnant, et que je trouve magnifique lui aussi. 
De retour à l’hôtel, nous apprenons que notre chambre est prête : chouette ! 
Mais avant ça, nous allons passer à l’accueil pour profiter des quelques snacks offerts 24h/24h. Alors, qu’allons-nous choisir… ? 
Il y a du choix ! Nous n’osons pas trop en demander cependant (nous serons moins timides en fin de séjour), mais nous prendrons des Kit Kat pour notre goûter. Miam ! De mon côté, je prendrai également une glace dans la machine à glace. Ça, c’est les vacances ! Nous allons ensuite découvrir notre chambre, qui se trouve à l’étage. Le Magic Castle possède des studios dans lesquels se trouvent des cuisines. Mais étant donné la présence de snacks à volonté, la durée de notre séjour et la différence de prix, nous choisissons une chambre toute simple sans cuisine. 
La chambre n’est pas la plus belle que nous ayons eue, ni la plus grande. Mais le lit sera très confortable et nous nous y sentirons très bien ! J'apprécie particulièrement la présence de multiples produits de toilette disponibles. En plus du gel douche, shampooing et après-shampooing habituels, il y a un bonnet de douche (pratique quand le pommeau est fixé et que tu as des longs cheveux que tu ne veux pas mouiller à chaque douche), de l'eau micellaire, des lingettes démaquillantes, un kit de dépannage (cotons, cotons-tiges, lime à ongles...) et un kit de couture de voyage avec quelques fils, aiguilles et boutons. J'adore ! Il y a de petits détails charmants, comme ces recettes de cocktails. Nous allons visiblement passer un très agréable séjour ici ! D’ailleurs, nous décidons de faire une petite pause dans notre voyage et de profiter un peu de la piscine, des glaces, des boissons…ça fait du bien de cesser de marcher partout ! B] Walk of Fame Mais il ne s’agirait pas de se reposer pendant tout le séjour non plus hein ! Alors en fin d’après-midi, nous quittons à nouveau l’hôtel pour se promener un peu aux alentours. 
Au premier abord, les alentours de l’hôtel ne semblent pas très sûrs. Si derrière l’hôtel se trouve un quartier en pente qui a l’air très calme (et aussi très aisé, c’est le moins qu’on puisse dire), l’hôtel est bordé par une grande route que l’on peut traverser pour se retrouver, après cinq petites minutes à pied, directement sur le Walk of Fame, devant le Chinese Theatre ! Les abords du Walk of Fame sont connus pour ne pas être les plus sécurisés. De l’hôtel à cette rue célèbre de Los Angeles, il faut passer par un coin d’herbe où se trouvent des sans-abris dont certains ont un comportement qui peut être inquiétant. C’est en réalité le même comportement que nous avions pu observer à San Francisco, à savoir beaucoup de personnes qui parlent toutes seules ou qui semblent désorientées. Ceci dit, nous n’aurons jamais aucun problème, et ils ne se montrent pas agressifs avec les autres. Le Walk of Fame est situé sur Hollywood Boulevard ; c’est l’un des endroits les plus connus de Los Angeles, un incontournable pour les touristes si bien que certains parlent même de la pire expérience touristique du monde, tant il y a de monde et tant cela peut apparaître décevant pour certains. Pas pour nous ! Il s’agit d’une rue où se trouvent de nombreuses étoiles au sol, chacune attribuée en l’honneur d’une célébrité du monde du cinéma ou des arts. La rue est animée, et nous apprécierons beaucoup notre promenade. Dans un premier temps, nous nous arrêtons dans une grande boutique qui se nomme La La Land. C’est grand, on y trouve des articles très divers très axés sur la pop culture, avec de nombreuses installations et statues. En revanche, attention à votre comportement dans la boutique, car le vigile n’a pas l’air très commode ! 
Nous sommes accueillis par une célébrité qui visite en même temps que nous cette boutique : Elvis Presley ! 
Au plafond se trouvent des lettres lumineuses afin de donner le titre de la boutique ainsi que des écrans. On y trouve de nombreux vêtements à l’effigie de Los Angeles, bien sûr. Disney y est aussi à l’honneur ! De temps en temps, un petit show lumineux se met en place avec de la musique : c’est très sympathique !
La boutique se trouve juste en face du musée Madame Tussauds d’Hollywood. Si nous avions eu plus de temps, j’aurais bien aimé le visiter. Encore une fois, un vigile particulièrement imposant veille. 
Hélène sera d’ailleurs embêtée par ce vigile. 
Nous allons ensuite visiter le Walk of Fame proprement dit : nous partons à la chasse aux étoiles ! Le moins qu’on puisse dire…c’est qu’il y en a partout sur le sol ! Nous retiendrons quelques noms qui sont importants pour nous. Houdini, pour commencer, un illusionniste qui a été majeur pour la pratiquer de la magie moderne. 
Les étoiles ne sont pas seulement données aux personnes réelles, mais aussi aux personnages qui ont pu marquer l’histoire du cinéma. Comme…Shrek ? Ah bon ! 
Hélène sera plus intéressée par Orlando Bloom bien sûr ! On y trouve aussi quelques chanteurs célèbres comme Michael Jackson. 
Mais ce que nous chercherons plus activement, bien sûr…c’est Mickey Mouse ! 
Nous passons aussi devant le Grauman’s Chinese Theatre, l’un des cinémas les plus importants du monde, où sont diffusées les premières des grands films américains. C’est aussi l’un des symboles du parc Disney Hollywood Studios en Floride, où nous avons d’ailleurs pris connaissance de l’existence de ce cinéma pour la première fois. Cela ne peut donc que nous rappeler notre voyage de noces en Floride ! J’aurais aussi adoré le visiter mais…pas le temps, encore une fois ! Nous nous contentons donc d’en faire le tour de l’extérieur. Sur le sol se trouvent les empreintes de quelques célébrités. John Woo ! 
Quentin Tarantino ! 
Mais aussi tous les Avengers. Bien sûr, Disney est encore à l’honneur. On y trouve Donald par exemple. Allez, nous repartons à la recherche d’étoiles ! Lorsque je vois ce nom, je ne peux que me rappeler Shining… 
Les artistes présentés sont très variés. Il n’y a pas que des acteurs. La rue est bondée, il y a du monde, mais on y circule bien tout de même. Il fait toujours aussi beau. Au loin, nous observons l’El Capitan, une salle de cinéma détenue par Disney, qui diffuse la plupart de ses grandes premières (et qui a diffusé la première du légendaire Citizen Kane d’Orson Welles !). On y trouve d’ailleurs un Disney Store juste à côté. 
Les étoiles sont parfois très étonnantes. Godzilla, sérieusement ? 
Et…les Munchkins ?? 
Ah, ça, c’est déjà plus mon univers ! Je retiens Retour vers le futur bien sûr, mais aussi Forrest Gump ou encore Seul au monde ! 
Le Walk of Fame est aussi connu pour les personnages qui y circulent. En effet, de nombreuses personnes se déguisent et proposent ensuite des photographies avec les visiteurs contre un peu de monnaie. On se croirait à Las Vegas ! On y trouve aussi…de gros serpents. Et ça, c’est moins plaisant pour Hélène qui en a une peur bleue ! 
Allez, repartons à la chasse aux étoiles ! Un autre acteur légendaire, qui pour moi rime avec Le cercle des poètes disparus, Jumanji, Madame Doubtfire ou encore Hook ! Vous avez deviné ? 
Et si je vous parle d’un de mes acteurs préférés, qu’on retrouve dans Grease, Pulp Fiction ou encore Opération Espadon ? 
En parlant de Grease, d’ailleurs… ! 
Non loin de là se trouve le Dolby Theatre, plus sobre de l’extérieur, mais pas moins important puisque c’est ici qu’a lieu la cérémonie de remise des Oscars. Continuons la visite du sol ! Cette fois, je vous parle des Dents de la mer, d’E.T., d’Indiana Jones, de Jurassic Park, de la Liste de Schindler, d’Il faut sauver le soldat Ryan, du Terminal, et bien d’autres encore ! Vous avez probablement deviné : 
Peut-être un peu plus difficile ? Taxi Driver, Les Affranchis, Gangs of New York, Shutter Island, Le Loup de Wall Street…alors ? 
Revenons aux acteurs, avec l’un de mes préférés à nouveau, un maître de l’angoisse, avec Le silence des agneaux, qui suffirait seul, mais aussi Elephant Man et Le Masque de Zorro par exemple. 
Le prochain me fait penser à Ocean’s Eleven (non, ce n’est pas George Clooney !), Jason Bourne, Monuments Men, Interstellar, Seul sur Mars et Le dernier duel ! 
Bon, ça, c’est moins mon truc ! 
Ça aussi, mais il faut dire que mes centres d’intérêt sont plus cinématographiques que musicaux ! 
La jeunesse d’Hélène ! 
Pour le prochain, une seule référence devrait suffire : Harry Potter, mais aussi La Dame en noir, un film dans lequel je l’ai découvert sous un tout autre aspect. 
Pour celui-là, il suffirait sans doute de mentionner Matrix. Mais si on ajoute John Wick, je pense qu’on ne peut plus douter de son identité : 
Parfois, des noms étonnent, jusqu’au moment où l’on se rappelle qu’on passe facilement de la télévision à la politique aux Etats-Unis (non, ce n’est pas Schwarzenegger ni Reagan !). 
Sur Hollywood Boulevard se trouve également…un Ripley’s Believe It or Not ! J’ignorais totalement que ce musée, que j’aurais aimé visiter à San Francisco, existait ici également (et pour ceux qui suivent mon autre compte rendu sur ma croisière Disney en Europe du Nord, vous aurez pu voir qu’il y en a un à Copenhague également !). Décidément…il faudra vraiment que j’en visite un ! Allez, une étoile précieuse pour les membres de ce forum sans doute. Non, ce n’est pas Walt Disney, c’est l’autre ! 
Et toujours ce bon vieux canard… ! 
Mais il n’est pas le seul personnage Disney à l’honneur ! Plus étonnant, la prochaine étoile ne concerne pas un personnage ni une personne. On la trouve non loin du Disney Store évidemment. 
Nous visiterons d’ailleurs ce Disney Store, qui est aussi une boutique Ghirardelli. Ce n’est pas très grand et le côté boutique n’est pas très imposant. C'est assez étonnant de pénétrer dans cette double boutique. Je reconnais que je suis très déçue, la zone Disney est toute petite, très peu de produits y sont présents, encore moins des exclusifs. Dommage ! Nous résisterons à la tentation du Ghirardelli. Il faut dire que nous sortons du Magic Castle Hotel dans lequel nous avons pu manger des snacks à volonté… ! Tiens, j’ai failli oublier cette étoile, qui se trouve elle aussi devant le Disney Store bien sûr ! 
Pour la prochaine étoile, ce sera sans doute la plus difficile à deviner. Une seule série doit être mentionnée : La Quatrième Dimension ! 
Pour ceux qui ont un petit creux, en passant, il y a là aussi un Hard Rock Café ! 
Mais nous n’avons pas faim, et nous préférons continuer à scruter le sol. C’est un jeu amusant de retrouver ses personnalités préférées ! Ça, c’est pour Hélène, avec la série Desperate Housewives ! 
Nous résisterons aux tentations des boutiques qui se trouvent tout le long du boulevard, et qui sont toutes plus attirantes les unes que les autres… 
Gardons la tête baissée, ne regardons pas, ne soyons pas soumis à la tentation ! Tiens ? Cet acteur est l’un des préférés de ma mère. On peut l’associer à Spielberg, mais pas seulement ! On pourrait mentionner Mission Impossible, Rain Man, Top Gun, Eyes Wide Shut, Magnolia, Le Dernier samouraï…autant de films qui m’ont marqué ! Nous avons fait le tour, car nous revenons devant le Chinese Theatre, mais sur le trottoir d’en face cette fois-ci. 
Voitures, faites attention à la traversée de peluches ! 
Iron Man veille d’ailleurs. 
Quelle superbe visite : nous avons adoré ! C] Une soirée au Magic Castle Il est temps de préciser pourquoi notre hôtel porte ce nom. Il est en effet collé à un édifice particulièrement important pour tous les magiciens du monde entier : le Magic Castle. Il s’agit d’un club privé et très sélectif qui comporte les plus grands magiciens du monde, sous le patronage de l’Academy of Magical Arts. L’entrée est réservée aux membres et à leurs invités, et on y croise les plus grands de tous les magiciens. Pour un magicien, entrer dans le Magic Castle, c’est un rêve ! Et y présenter quelques tours de magie…c’est une véritable consécration ! Il s’agit aussi d’un club assez sélectif concernant la tenue à porter : on ne peut y entrer que bien habillé : chemise, pantalon, chaussure de ville, cravate, robe de soirée pour les dames. On l’aperçoit lorsque nous revenons vers notre hôtel. Il est superbe, mais aussi plein de mystères ! En arrivant devant notre hôtel, nous voyons toute une série de voitures qui entrent à l’intérieur : le Magic Castle organise en effet des soirées qui rassemblent les magiciens. En séjournant au Magic Castle Hotel, les résidents ont le privilège de pouvoir réserver une soirée au Magic Castle. C’est LA principale raison qui nous a fait choisir cet hôtel. Car je pratique la magie, si bien que je rêve de pouvoir entrer dans ce club légendaire. Pour cela, il faut contacter le service de conciergerie de l’hôtel et demander s’il est possible d’y accéder, en fonction des dates. Il faut s’y prendre à l’avance, et il faut payer pour avoir l’accès au club (nous paierons environ 200 euros). Ce soir, nous allons pouvoir découvrir ce lieu. Avouons-le : nous stressons un peu. Il faut en effet se préparer et bien s’habiller. Nous espérons que notre tenue sera suffisante, car nous n’avons pas vraiment l’habitude de fréquenter ce type de lieu (cela nous fait un peu penser au restaurant Victoria and Alberts à Walt Disney World, pendant notre voyage de noces !). Nous nous demandons aussi comment nous allons être reçus. Le fait que ce club soit si mystérieux est impressionnant. Nous avons rendez-vous pour 20h, et nous devons dîner à l’intérieur. Seulement, nous découvrirons qu’il aurait été possible d’y entrer plus tôt afin de profiter des animations à l’intérieur dès le début de soirée (car nous ne pourrons pas tout faire !). Il est 19h15 quand nous irons d’ailleurs, en comprenant que nous aurions pu en réalité y aller beaucoup plus tôt (dès 17h). Autre problème : nous n’y allons pas en voiture. En effet, l’hôtel se trouve juste à côté. Par contre, comme vous avez pu le voir sur les photographies, ça monte…et autant dire qu’en talons Hélène a bien du mal et se montre un peu ridicule ! Bon…finalement, nous y arrivons enfin, et nous entrons dans cet édifice. Aucune photographie n’est autorisée à l’intérieur évidemment, nous n’en avons pas. Je vais essayer de trouver quelques photographies prises sur internet (notamment via un article du Los Angeles Times) pour illustrer cependant. 
Nous sommes accueillis dans une salle où l’on vérifie notre réservation. On nous explique les règles du lieu, et comment cela va se passer. Nous allons pouvoir visiter plusieurs salles du château dans lesquelles sont donnés des spectacles de magie tout au long de la soirée. Nous pourrons manger à 20h, en allant dans la salle réservée au repas : pour nous, ce sera la salle Dante. Il ne faut pas hésiter, nous dit-on, à poser des questions si nous en avons. Ils sont souriants, aimables, ils essaient de nous mettre à l’aise, d’autant qu’ils savent qu’il s’agit de notre première visite. Ceci dit, l’atmosphère est vraiment impressionnante, assez sombre, secrète. On nous place devant une grande bibliothèque, depuis laquelle nous observe une statue de chouette un peu inquiétante. Il suffit de lui donner le mot de passe pour avancer : « Open Sesame ! ». La bibliothèque s’ouvre alors comme par magie pour nous laisser pénétrer à l’intérieur des lieux. 
Nous arrivons dans une salle où se trouve un bar. Il y a beaucoup de personnes qui discutent entre elles, toutes mieux habillées les unes que les autres (parfois de manière un peu excentrique d’ailleurs), et toutes avec un verre à la main ! Nous sommes intimidés, nous ne connaissons pas le lieu, et nous ne savons pas trop que faire ni où aller. Nous ne savons pas trop comment nous comporter non plus. Bref, nous nous sentons un peu mal à l’aise au début. Nous avons un programme qui nous a été remis qui indique les événements qui auront lieu ce soir-là. Au bout de cinq ou dix minute à ne pas savoir quoi faire et à piétiner, nous nous décidons à explorer. Peut-on entrer dans cette salle ? Ici ? Aucune idée ! Allez, on tente ! Finalement, nous descendons un escalier étroit qui nous amène dans la salle réservée au close-up. Le Close-up, c'est cette magie destinée à être faite devant les gens, dans la rue par exemple, ou au restaurant, juste devant eux, contrairement à la magie de salon ou de scène. Cette salle est…minuscule ! Quelques chaises, pour une trentaine de personnes, avec cinq ou six personnes présentes seulement. Euh…c’est encore plus intimidant, car nous risquons d’être pris à partie par le magicien pour participer (mais après tout…c’est le principe du close-up !). 
Un magicien apparaît alors, que je ne connais pas et dont je ne me souviens malheureusement pas du nom. Cinq minutes après le début de la séance, nous sommes à l’aise, ça y est ! Le magicien fait parfaitement son travail et installe une ambiance magique, certes, mais surtout pleine de rire et de sympathie, idéale pour une situation de close-up. Il faut dire aussi que dans le public se trouvent deux femmes un peu déjantées qui nous ferons bien rire aussi ! C’est un superbe moment que nous allons passer, pendant une bonne vingtaine de minutes : nous serons captivés ! Hélène participera à un tour en choisissant discrètement un objet personnel, comme d’autres membres du public, tandis que le magicien essaiera de retrouver à qui appartient chaque objet. De mon côté, je vais aussi participer en choisissant une carte dans un paquet de cartes…imaginaire ! Une carte qu’il retrouvera bien sûr. Tout s’enchaîne en tout cas avec logique, avec beaucoup de plaisir et de rire : nous voilà soulagés et prêt à poursuivre la soirée plus sereinement. Nous avons bien fait d’aller voir ce spectacle avant d’aller manger ! Nous retournons ensuite au bar pour emprunter un escalier qui nous amène à l’étage. 
Nous arrivons dans la Dante’s Room, où nous allons manger. Cette salle est consacrée au légendaire magicien Dante, et elle est magnifique ! Là aussi, le décor peut paraître un peu imposant et mystérieux. 
Nous pouvons choisir le menu (qui n’est pas compris dans le prix de l’entrée). C’est un bon restaurant, pas gastronomique pour autant, mais de qualité, si bien que les prix sont un peu élevés. Nous prendrons une coupe de champagne pour fêter cette soirée qui commence. Hélène mangera du bœuf Wagyu (c’est bon ! Mais ce n’est pas le Victoria and Alberts quand même hein…en même temps ce n’est pas du tout le même prix non plus !) et moi du bœuf Wellington, dont la sauce sera d’ailleurs délicieuse ! À noter : le Chocolate Bom, un dessert qu’Hélène va prendre évidemment, et qui sera délicieux (une sauce au chocolat chaude est versée sur une coque en chocolat qui fond, et qui révèle l’intérieur). À un moment, un serveur fait un petit écart avec sa main et…renverse mon verre qui était déjà entamé à moitié. Oups ! Heureusement, je ne suis pas trop touché et c’est la table qui a pris plus qu’autre chose. Bien sûr, ils apportent un second verre plein en échange…bon…ce sera une mauvaise idée, vous verrez ! En tout cas, ce repas est très agréable, même si nous sommes encore une fois impressionnés par ce qui nous entoure, mais aussi par les autres qui ont un peu l’air de tous se connaître. On a l’impression d’être un peu à part, de ne pas être trop à notre place ici. Après ce repas, il est temps de découvrir le reste du club. Nous ne pourrons pas voir tous les spectacles malheureusement, donc il faudra choisir. Nous passons avant tout au bar pour prendre un cocktail. Après tout, il faut s’amuser non, et ça va peut-être nous détendre ! Hélène en profite pour demander au serveur si elle pourrait avoir le stylo qu’il a et qui porte le nom du Magic Castle. Et voilà un stylo gagné ! Je crois qu’elle commence à se détendre et à trouver ses marques ! Nous irons voir un spectacle sur scène, dans le Palace of Mystery. La salle est bien plus grande cette fois, c’est un spectacle de scène (ou plutôt de salon, ça n’a rien à voir avec une salle de théâtre quand même). 
Je suis assis, je viens de boire deux verres de champagne, je bois un cocktail. Ouf…c’est une erreur, car l’alcool commence à s’allier avec la fatigue accumulée au cours de ces précédents jours de voyage intense et en attendant que le spectacle commence je pique du nez. Je résiste et j’essaie de n’en rien dire à Hélène car j’ai l’impression qu’elle est surtout venue ici pour moi, car c’était ma lubie, et je ne veux pas qu’elle ait l’impression d’être venue pour rien et que cela ne me plaît pas ! Heureusement, le spectacle commence et je me réveille parfaitement ! Ce sera un superbe spectacle encore une fois, avec toujours une petite touche d’humour, mais aussi de mystère. À un moment, le magicien se tourne vers moi et me désigne pour me demander de donner une heure. Ouhla ! Euh…donner l’heure en anglais ? Je ne le fais jamais ! Euh…c’est des cours de collège ça non ? Euh…bref, je panique et j’arrive difficilement à répondre alors que c’est en fait tout bête (02h17, il faut juste dire « deux » puis « 17 »…). Bref, il y aura un petit moment de gêne mais le magicien arrive à me tancer gentiment et à s’en servir pour que je ne sois pas gêné ni que le public soit gêné non plus. Et finalement je donne une heure. Hého, faut prévenir avant de m’interpeler comme ça hein ! Après ce spectacle, nous irons faire un tour au bar (non, pas pour boire encore ! D’ailleurs j’ai du mal à finir le cocktail car j’ai l’impression que l’alcool me pèse de plus en plus !) pour voir un magicien qui fait quelques tours amusants. C’est une bonne ambiance ! Nous irons ensuite dans une salle dans laquelle est présent un magicien que je tiens absolument à voir : Karl Hein. Cela ne vous dit probablement rien car ce n’est pas un magicien médiatique ni très connu. Mais c’est un excellent professeur, avec qui j’ai appris une partie des tours que je sais faire avec un Rubik’s Cube. Et ça tombe bien…c’est justement un spectacle essentiellement axé sur le Rubik’s Cube que nous allons voir ! 
C’est génial ! Le rythme, l’humour, l’échange avec le public, l’improvisation, la capacité à surprendre toujours plus, tout est parfait ! Une véritable réussite : nous n’avons même pas envie de nous demander comment il fait, tant nous sommes absorbés par le spectacle. Encore une fois, il a deux spectatrices qu’il choisit pour s’approcher de lui qui sont particulièrement amusantes et qui vont faire une bonne partie du show aussi (il faut dire que le magicien sait utiliser habilement la personnalité des spectateurs choisis pour rythmer le spectacle !). La fin de soirée arrivera avec un spectacle dans le Parlour of Prestidigitation, la plus grande scène du Magic Castle, dans laquelle doit être donné un véritable spectacle de scène. Nous faisons la queue et nous attendons devant la salle car le spectacle ne sera donné qu’à…minuit et quart, dans une trentaine de minutes ! Je suis encore un peu fatigué par l’alcool, et je m’en veux un peu de faire attendre Hélène à ce moment-là. Je me dis qu’elle fait ça pour moi, et qu’elle a sans doute envie de se coucher, que c’est un peu long, et je n’arrive pas vraiment à savoir si elle se plaît à être ici. Par politesse, je lui dis alors qu’on peut rentrer si elle veut, mais elle répond immédiatement non et insiste pour rester. Elle me dira plus tard qu’elle a adoré la soirée, alors que de mon côté je me suis un peu senti mal à l’aise tout le long en ayant l’impression de la forcer à être dans un lieu étrange où on se sentait parfois un peu gênés ! Ca, plus les effets de l’alcool, c’est dommage, ma soirée n’a pas été aussi extraordinaire qu’elle aurait pu l’être. J’en garde un excellent souvenir, j’ai adoré les spectacles, mais j’aurais pu être dans une ambiance plus joyeuse encore et en profiter plus ! Ceci dit, le dernier spectacle arrive. Et je suis bien heureux qu’Hélène n’ait pas accepté de rentrer…car c’est sans doute le spectacle qui nous fera le plus rire et qui sera le plus incroyable ! C’est là qu’on voit ce qu’est une belle magie : pas un casse-tête à résoudre, mais un art de la scène qui doit faire passer un excellent moment au public. Plus qu’un numéro impressionnant et incompréhensible : un moment magique à passer tous ensemble, duquel on ne peut ressortir qu’avec de la bonne humeur ! C’est un magicien argentin qui présente ce spectacle ce soir-là. Il est incroyable ! Plein d’humour, de poésie aussi, de mystère ! Il fait venir sur scène un jeune homme dont c’est l’anniversaire aujourd’hui et…il sera génial ! Il a des expressions exagérées, typiques des Américains, et fera exploser de rire le public en montrant qu’il ne comprend rien à ce qui se passe sous ses yeux ! Nous ressortons de cette soirée des étoiles plein les yeux. Epuisés, mais heureux, c’était une expérience incroyable, à la fois déstabilisante et pleine de magie ! Avant de partir, nous pourrons passer par une petite boutique qui propose quelques produits. Evidemment, je prends le paquet de cartes à l’effigie du lieu ! Je trouve également un Sharpie, un marqueur souvent utilisé par les magiciens. Se vend également...le stylo qu'a récupéré Hélène au bar ! Bien joué ! Et je me promets d’y retourner un jour, dans un autre état d’esprit : connaissant maintenant l’atmosphère du lieu, je serai moins intimidé et je pourrai profiter bien plus de cette expérience incroyable qu’il est pour moi indispensable de vivre à Los Angeles ! Il est 1h30 du matin quand nous revenons dans notre chambre…outch ! Nous nous écroulons sur notre lit et nous endormons pour une nuit paisible. Le lendemain ne sera pas de tout repos : nous avons prévu une grosse randonnée, un retour à l’université, et la visite d’une autre demeure magique…à suivre ! | Sujet:Qu'est-ce que le cinéma ? | Náin Réponses: 28 Vues: 1411 | Rechercher dans: Sujet: Qu'est-ce que le cinéma ? Mer 8 Nov 2023 - 14:32 | J'ai du temps pour répondre  - Princess Meg a écrit:
- Je ne pense pas que l'un ou l'autre aie tort ou raison, juste une divergence de point de vue.
Non. Le fait que le montage soit le cœur de la mise en scène et donc du cinéma, ça, c'est effectivement mon point de vue, qui peut tout à fait être discuté. J'en suis convaincu parce que bah sinon je ne défendrais pas cette position, mais des cinéphiles bien plus érudits ou passionnés que moi ne partageraient pas cet avis. En revanche, il y a bel et bien un avis que l'on partagerait tous, c'est que la mise en scène est le cœur du cinéma. Que c'est ce qu'il y a de plus important. Tout ce que je te demande c'est d'envisager que tu puisses te tromper. Non pas sur le fait que oui, effectivement tu aimes un film pour tel acteur, pour telle histoire, tel scénario ou quoi. Mais moi je te réponds que, que tu aimes le film ou non, quelques soient ces raisons, le film ne peut être sérieusement jugé que par sa mise en scène. Autrement dit, que toutes ces années où tu as critiqué (comme moi hein) des films sur leur histoire ou leurs acteurs ou la cohérence de leur scénario, tu passais malgré tout à côté du plus important. Oui, bien sûr, sans nul doute d'ailleurs, qu'il y a un tas de films, excellents par leur mise en scène, que tu n'aimerais pas. Ce que je dis, c'est que ça n'en fait pas des mauvais films. Quand les cinéphiles débattent ou s'écharpent sur le cinéma, sur la qualité de tel ou tel film, ils le font en parlant de mise en scène, avant tout. Et attention je parles bien de cinéphiles je ne parles pas de la plupart des gens qui justement, critiquent les films pour autre chose que ça car ils sont incapables d'analyser ou de lire une mise en scène, ou un montage (et ce n'est pas irrespectueux, ce n'est pas une insulte, je m'inclus moi-même dans ce cas là). Je te renvoie au fameux texte de Godard où il fait l'apogée du montage justement, en expliquant que c'est là la réelle mise en scène, et en s'inscrivant ainsi en faux avec André Bazin, un grand critique de cinéma (c'est lui qui a fondé les Cahiers du Cinéma dont sont issus la plupart des réalisateurs ayant lancé la Nouvelle Vague) : https://2.bp.blogspot.com/-Z-DmUpzZg5g/U2a2cG3Mt1I/AAAAAAAAALQ/tscLPi1wnC8/s1600/JLG_MONTAGE_MON_B_SOUCI.jpg Tu remarqueras à nouveau que, même si je me range du côté de Godard, les deux débattent de cinéma en parlant avant tout... de mise en scène. - Princess Meg a écrit:
- Effectivement dans le cas que tu cités ton point de vue se tiens.
Et c'est là que tu me perd. Si mon exemple se tient.... eh bien c'est qu'il prouve que le cinéma est avant tout histoire de mise en scène et donc de montage. Sinon.... La Classe américaine ne pourrait pas être un film en fait ! Mais c'en est un. Et considéré comme un film, surtout, par les connaisseurs du domaine (les vrais connaisseurs j'entends, donc ni toi ni moi, en réalité). Donc.... si un film, qui n'a pas été tourné, qui n'utilise que des images existantes, et qui n'est finalement affaire que de montage, peut exister, c'est donc bel et bien là la preuve que le cinéma se définit par ça. Car on en a retiré tous les autres aspects. C'est donc bel et bien la preuve que ces autres aspects ne sont pas nécessaires à la création d'une oeuvre cinématographique. Beaucoup de films y font appel, oui, mais chaque film peut se séparer de l'un ou de l'autre. De la musique, des acteurs, d'un tournage (et donc, d'un cadrage, également, Hazanavicius n'a pas tourné ces images, donc il ne les a pas construites, ne les a pas cadré, il n'est pas responsable des contre plongées ou que sais-je, il n'est responsable que du montage. Et par là il fait malgré tout un nouveau film). Mais encore une fois, pas de montage, et donc pas de mise en scène. Il ne s'agit pas de dire que le jeu d'acteur, ou la musique, ou que sais-je d'autre, ne vas pas améliorer ou empirer le film. Il s'agit de dire qu'en dépit de ces éléments là, c'est la mise en scène qui définira la qualité artistique (laquelle donc, n'est pas forcément comprise par la plupart des gens qui ne jugeront le film que sur ses acteurs ou son scénario) de l'oeuvre. Est-ce que Koyaanisqatsi (que je conseille à tout le monde), qui doit mine de rien énormément à sa musique, serait un film aussi réussi sans elle ? Peut-être, peut-être pas. Mais si c'est "peut-être pas", alors ce n'est pas un si bon film, car il devrait sa réussite à un art autre que celui du cinéma : La musique. Ce qui fait l'art du cinéma ce n'est pas le mélange des arts hein. Une musique réussie sera une oeuvre d'art musical réussie. Non une oeuvre de cinéma réussie. L'art dans le cinéma c'est la mise en scène. Tu peux aimer ou critiquer un film pour ses autres aspects, ses autres arts, mais ce ne sera donc pas le juger sur son art cinématographique. - Princess Meg a écrit:
- Et sûrement pour certaines de mes vidéos aussi en partant de ce principe, même si selon moi ce que je fais ne correspond pas vraiment à la définition que j'ai du cinéma.
Oui mais, j'espère que tu m'excuseras ce qui peut apparaître comme méprisant mais qui ne l'est pas ^^ mais ta définition du cinéma me semble assez superficielle. Quand tu dis ce genre de choses : "(ou même un film tout court vu que certains épisodes durent 1h voir plus)" ; "Pour moi une oeuvre fait partie du cinéma lorsque celle-ci... est réalisée, conçue et pensée pour le cinéma. Une actrice de télévision ne dira pas qu'elle est actrice de cinéma et inversement." ; "Ils font des films (ou des courts-métrages)." tu sembles considérer le cinéma comme quelque chose de très réglé, très étriqué. "Un film, ça doit faire plus d'une heure, ça doit être diffusé au cinéma". Eh bien non. C'est un art, et un art se partage où tu veux. Il peut l'être dans ton salon, dans un lieu public, ou ailleurs. Et les courts-métrages sont des films Un film de cinéma n'est pas définit par sa durée, non plus. Donc quand tu regardes un épisode de série, techniquement, tu regardes bel et bien un film, quelque soit sa longueur. Le lieu du cinéma est un lieu. Oui, clairement pensé pour être le meilleur mode de diffusion de cet art (et il est aussi important de le rappeler) mais un lieu. Ne pas confondre les deux c'est important également. Il y a des films sensés être diffusés au cinéma qui ne le sont finalement pas, et ce pour des raisons totalement autres que l'art. J'en veux pour preuve les derniers Pixar, privée de sortie cinéma et qui n'y ont donc jamais été diffusés, mais qui pour autant, quand ils ont été créés par leur réalisateurs, avaient pour objectifs d'êtres vus dans les salles. Quid de ces exemples ? Quid des films privés de sortie cinéma par leur boite de production qui n'ont pu êtres disponibles qu'en DVD ? Ils ne peuvent pas être qualifiés d'objets cinématographiques selon toi ? Le problème de la salle vs le salon est bien plus profond que ça en fait, et se détermine..... par la mise en scène, encore une fois, on y revient toujours. Car le fond du problème, c'est qu'un téléfilm ou un film de streaming est pensé pour la télévision. Donc, pensé pour un mode de diffusion où les gens vont probablement regarder en faisant autre chose. Manger, faire le ménage, parler ou que sais-je. Sachant cela, le réalisateur va axer sa mise en scène sur des éléments choques, ou qui captent directement l'attention. Selon certains ce n'est plus de l'art, c'est un simple objet racoleur pour garder le plus longtemps possible la personne devant son écran. Sans parler des coupures publicitaires, qui viennent saccager comme des sagouins le montage ( ) qu'un réalisateur, qu'un cinéaste, a pensé, réfléchi et construit pour son spectateur. Et là ça concerne même des films pourtant sortis au cinéma. Et c'est là le problème. Tu comprends ? Le problème fondamental ce n'est pas que ce ne soit pas diffusé au cinéma, car certains de ces films sont bel et bien artistiques, ce n'est pas une vérité générale, mais c'est bel et bien que ça entraîne une manière de faire les films, une mise en scène pensée pour autre chose que la création artistique. Je te renvoie à ce petit reportage de quelques minutes sur Fellini à l'époque où le cinéma italien, l'un des plus grands cinéma d'Europe, vit ses dernières heures à cause d'un milliardaire qui n'en a rien à faire du cinéma et qui impose les coupures publicitaires : https://www.radiofrance.fr/franceculture/comment-la-television-a-tue-le-cinema-selon-federico-fellini-1573264 - Princess Meg a écrit:
- ferait perdre grandement en qualité au film car il perdrait de son comique alors que l'objectif principal du film serait de faire rire.
Si Kuzco est un film comique réussi uniquement ou quasiment que grâce à ses voix, alors ce n'est pas un bon film comique. Parce que ce qui te fera rire ne sera pas issu de l'art qu'est le cinéma : la mise en scène. Tu me parles de dialogues, mais tu sembles oublier que le cinéma a été muet au début. Là encore, les dialogues ne peuvent pas en être l'essence ou la définition. 
- Thumper a écrit:
- Certes. Ca se tient. C'est ultra intéressant comme débat en tout cas.

Plus que le sujet premier du topic en tout cas  - Thumper a écrit:
- Le cinéma contemplatif, et donc uniquement basé sur du montage ou des effets de montage, c'est clairement pas ma came.
Je peux comprendre. Après il y a aussi différents cinémas contemplatifs, différents cinémas d'auteurs. C'est même justement dans le cinéma d'auteur que tu auras en réalité le plus de diversité, puisqu'il est d'auteur. Ce que je trouve intéressant moi c'est de s'intéresser à tout. J'aime les gros blockbusters "sans âmes" pourrait on dire, les gros trucs commerciaux, comme certains films plus artistiques, plus intimistes, voir pour le coup carrément expérimentaux. C'est ce qui est important surtout, en fait, c'est de se rendre compte qu'il n'y a pas qu'une manière de faire du cinéma. Que le mode standardisé par lequel on a été élevé et qui correspond au cinéma grand public donc généralement le blockbuster ricain d'action etc... n'est pas une règle. Que ce n'est pas parce qu'un film sera différend, qu'il sera contemplatif, ou que le jeu d'acteur sera beaucoup moins expressif, qu'il est pour autant mauvais. Le cinéma français n'est pas le cinéma coréen qui n'est pas le cinéma américain. Et au sein de ces cinéma là il y a différents cinémas, qui correspondent aux différents auteurs, aux différentes "écoles". C'est important d'en avoir conscience, parce que c'est ce qui fait que beaucoup de gens vont juger ces cinéma moins grands publics (car moins distribués, pour raison commerciales) comme mauvais, ou délirants, ou pas du tout dans les règles. Des gens comme Durendal ont fait beaucoup de mal à ce sujet, incapables de se montrer ouverts (en croyant, ironiquement, être attaqués par ces gens appréciant le cinéma dit d'auteur) à ces visions autres. Ou comme on le voit ici, dans notre débat, où l'on voit que cette idée du jeu d'acteur, des dialogues des histoires et des scénarios restent profondément ancrée. Et puis, du cinéma d'auteur plus mainstream ça existe aussi. Spielberg a une patte reconnue. Guillermo Del Toro. Scorsese également. Ce ne sont pas des réalisateurs qui font des films inaccessibles on sera d'accords là-dessus. Mais justement ce qui fait leur patte c'est bien leur mise en scène. Si le Godzilla de 2014 a autant été critiqué ou adoré, en plus, c'est bien parce que Gareth Edwards a axé sa mise en scène du point de vue humain, c'est ce qui en fait un film, qu'on l'aime ou non, très marqué visuellement. Je ne vais pas te répondre davantage car, en fait, tu réponds à tes propres arguments ^^ 
- -10nez- a écrit:
- Un film c'est un tout , tu donne le même scenario à Spielberg pour Star Wars 8 ça resteras une bouse quoi qu'il arrive ça seras juste un peu moins pire
Tu présentes ça comme une vérité indubitable et indiscutable (sinon, tu ne t'en servirais pas comme exemple pour ton argument) mais saches que beaucoup de gens ont aimé Star Wars 8, et beaucoup parmi ces derniers t'expliqueront qu'en dépit du scénario, la mise en scène relève justement le tout, et que ça en fait le meilleur film de la postlogie. Alors tu vois, c'est pas seulement un mauvais exemple, c'est un mauvais argument, car il démontre en réalité que rien n'est gravé dans le marbre et que rien n'est plus important, quand on parle de cinéma, que de parler de mise en scène. - -10nez- a écrit:
- Que serait Terminator sans Shwazenegger ? Titanic sans Di Caprio et Kate Winslet ? Indianna Jones sans Harrison ford ?
Des bons films sans aucun doute. Et ceux qui les considéreraient sérieusement comme des mauvais films t'expliqueraient qu'outre le jeu d'acteur, c'est surtout la mise en scène qui pêche. Godard traitait après tout Spileberg de "petit". Et dieu merci, Terminator est un excellent film d'action qui pourrait se passer de Shwarzenegger, par exemple. Oui, le film serait peut-être moins bon (encore que, il y a de meilleurs acteurs hein, même spécialisés dans l'action). Mais il demeurerait bon. L'inverse par contre ne serait pas vrai. La meilleure performance de Shwarzenegger ne parviendrait pas à sauver un film d'action à la mise en scène plate. - -10nez- a écrit:
- La mise en scene c'est important mais ça fait pas tout c'est comme si dans une musique celle la performance de l'artiste conte sans prendre en compte les paroles ou la production.
Les paroles appartiennent à la poésie, et donc à la littérature. Le chant, lui, appartient à la musique  
- Seven a écrit:
- Néanmoins, vu le débat, je ne m'attends pas à ce que nous parvenions à un consensus, et c'est peut être mieux ainsi. Après tout, c'est la diversité des opinions qui rend le monde du cinéma si intéressant
Tu as sans doute raison. C'est pour ça que je vais m'arrêter là, pour ma part, je pense avoir de toute façon dit tout ce que j'avais à dire (ou presque) sur le sujet, insister davantage ne serait que tourner en rond de toute façon. | Sujet: | ViL1 Réponses: 323 Vues: 52338 | Rechercher dans:Les Films Live Action Sujet: Mar 29 Aoû 2023 - 18:01 | Je l'ai vu la semaine dernière... j'adore Peter Pan l'original! Vraiment très déçu, c'est une catastrophe monumentale pour ma part... Il n'y pas de magie, pas d'émotions, plus rien n'est cohérent c'est plat! Où sont les indiens??? L'acteur qui joue Peter Pan est ennuyeux et insupportable à mourir... toujours la même émotion sur son visage! Wendy s'en sort plutôt pas trop mal allez... J'aime beaucoup Jude Law mais sur ce film je ne le trouve pas investi dans le rôle du Capitaine Crochet... même son look n'est pas convaincant, c'est quoi ce chapeau??? On est loin de Dustin Hoffman ou Jason Isaacs... Mouche est ridicule aussi... Clochette... mon Dieu ma plus grosse déception concernant les personnages... elle ne ressemble en rien à la Clochette du dessin animé, elle est inutile dans l'histoire, lisse, aucune émotion. Normalement elle est très jalouse de Wendy et capricieuse, ici pas du tout, on dirait le monde des bisounours ce qui la rend vraiment insignifiante et on ne s'attache pas au personnage. Pourquoi inclure des filles parmi les garçons perdus?? c'est vraiment ridicule surtout que si Peter ramène Wendy au Pays Imaginaire c'est en partie pour leur apporter une figure maternelle qu'ils n'ont pas... Parlons-en du Pays Imaginaire.. il ne fait pas rêver du tout, c'est sombre, aucune âme je comprends que Wendy veuille se barrer de là  Le crocodile en forme de Godzilla bof... Où sont les magnifiques musiques de l'original?? Lili La Tigresse n'est pas enlevée... Bref, on s'ennuie, c'est mal fait et je m'en serais bien passé... | Sujet:Nimona [Netflix - 2023] | Flounder69 Réponses: 15 Vues: 3814 | Rechercher dans: Sujet: Nimona [Netflix - 2023] Jeu 6 Juil 2023 - 13:50 | - aframe.oscars.org a écrit:
'Nimona' Directors on Saving Their Film From Cancellation: 'People Need a Movie Like This' (Exclusive) Nimona is officially streaming on Netflix, but you can forgive filmmakers Nick Bruno and Troy Quane for feeling a bit of trepidation around the movie's debut. The road leading to this moment has been especially long and winding for the directing duo, plagued by setbacks including changes in leadership, a global pandemic, and a studio shutdown. When the Bruno and Quane sat down with A.frame prior to Nimona's release, the former quipped, "We're just hoping it doesn't get shut down again." Based on ND Stevenson's beloved graphic novel of the same name, Nimona takes place in a futuristic medieval world where knights ride around in flying cars. The story centers on Ballister Boldheart (voiced by Riz Ahmed), a disgraced knight who is framed for murdering the queen, and Nimona (Chloë Grace Moretz), a trouble-making shapeshifter desperate to be Ballister's sidekick. Throughout their journey, the unlikely duo discovers a conspiracy that connects back to the very founding of their kingdom. Back in 2015, 20th Century Fox acquired the rights to Stevenson's graphic novel with the intention of producing a movie adaptation through its now-defunct animation subsidiary, Blue Sky Studios. However, when Disney completed its acquisition of Fox in 2019, the studio delayed the release of Nimona, before ultimately shutting down Blue Sky Studios in early 2021 and effectively canceling the film. Fortunately, it was revived in early 2022 by Annapurna Pictures and Netflix, who partnered with DNEG Animation to help Quane and Bruno finish the film. "It's been such a journey," Quane reflects. "There have been so many twists and turns and unforeseen elements that have just sideswiped us. It's great to be at the point now where people are reacting and responding to the film itself, and not just to the story that's led up to it." Nimona's June 30 release notably coincides with the end of Pride Month, and fans of Stevenson's graphic novel will be relieved to learn that the movie version maintains its queerness. In fact, the directors couldn't imagine a version of Nimona that doesn't honor that aspect of its characters. "For us, it was about being honest and true to the characters we were getting to work with and the narrative we were trying to tell," Quane says. "I think it's a responsibility we all have as storytellers, whether it's in an animated form or not, to show the world as it really is." A.frame: The film had its world premiere at the Annecy International Animation Film Festival. What was it like watching it with a crowd for the first time? NICK BRUNO: I hate to sound corny, but it was pretty moving. Annecy is such a beautiful place. You have working professionals and fans in the crowd, so it's a great group of people to celebrate the movie with. What I really loved was getting to talk to so many people afterward about what the movie represents to them and why they felt it was important to get made. It's hard to explain, but we really had something we believed in with this film and knew we were making it because a lot of people need a movie like this. So, when it was initially shut down, we kept hearing from people about how we couldn't give up on it, how it had to be made, and how they needed it. To get that kind of response is a really profound experience. We joke about it hopefully not being shut down or canceled again, but the truth is that it is going to be out there soon. We're incredibly happy and proud of it. TROY QUANE: To build off that, I think the exciting thing was that there are so many people who are fans of the original graphic novel who will carry what it means to them into the film. But having people coming up to us afterward and say, "I love this movie so much that I can't wait to go back and read the graphic novel," knowing that we'd created new fans and that they still had the same reaction based solely on the film, made us feel like we really did something right.  Nick Bruno (left) and Troy Quane, directors of 'Nimona.'
What originally drew you to Nimona's world and characters? QUANE: The character of Nimona is just so engaging. She's unapologetically confident and in your face and disruptive and funny. The fact that she's a character who can be anything she wants and chooses to represent herself in this specific way is incredibly empowering, unique, and something that needs to be seen on screen. I think we all have a moment where we think, "Oh, I wish I could be somebody else so that I can fit in better..." And to have Nimona respond to that impulse with "Why? Be you and let people see you that way" is important. Having Ballister as her counter is also important, because he's desperately trying to alter the public perception of himself by changing who he is and becoming a knight and literally encasing himself in armor in order to be viewed differently. Eventually, Ballister realizes that there is value in who he is, and Nimona comes to understand that all you need is one person to get to know you and form their own opinion about you in order to make a difference. They both learn really beautiful lessons from each other, and the graphic novel's mythical future world is designed to support that. It's not just that it's cool to see flying cars and knights and swords all at once. The idea behind the world is that, while its culture has advanced and moved forward, its thinking is still very static. How do you change that? How do you make sure the way you think progresses with time? Nimona really doesn't look like any other animated movie. How did you settle on its visual style? BRUNO: First of all, I feel like it's an extremely exciting time for animation right now. People are taking more chances in general. Some of that is because we're moving away from the same three studios that have been doing animation for years, and some of it is due to the fact that we understand the technology better now. So, we're able to use the hammer in a different way, if you will. With Nimona, we wanted it to feel evocative of some of the fairy tale styles we've seen in movies like Sleeping Beauty and Sword in the Stone, but we also wanted to use the modern advances of technology to give that aesthetic a fresh spin. And that decision was also made because, thematically speaking, what does a medieval future world represent? It has all these technological advances and yet the culture still has the mindset of a feudal past. Everything from the look of the film's world to the way people think in it all stems from that thematic idea, which really informed everything we did. QUANE: We even used those ideas to inform how we represent the characters within the movie. The closer they are to the camera, the more detailed they are. The idea is that the closer we allow people to get to us, the more they see all the elements that make us a unique individual. When they're kept farther away, we become a more generic representation of ourselves that others could easily get wrong. We were always playing with those ideas in the film. BRUNO: For the record, that literally meant that if a character stood past a certain distance from the camera, they were swapped out with a different geometry. It's that way in the graphic novel, too, because you only have one size pencil, right? When they're smaller in the frame, you start to draw them differently and start to simplify their forms. 
The film is obviously visually indebted to its source material, but did you look at any other films or TV shows for inspiration? There's one sequence that feels inspired by monster movies like Godzilla.QUANE: Blade Runner was hugely inspirational in certain places, where we were trying to achieve a kind of future grunge look. In other areas, we thought about Camelot, with its gleaming sets of armor and brightly lit set pieces. Generally, we're always looking for ways to create visual contrast. At the same time, this was such a unique story with such unique characters that we could only do that up to a certain point before we had to just accept that it was going to be what it was going to be and then build from there. BRUNO: For me, I thought a lot about Beetlejuice. I love the feeling that Michael Keaton creates in that film, where you're not always sure whether Beetlejuice is good or bad. Here, we purposefully held back on revealing Nimona's backstory instead of delivering it up front like we normally would. That was because a lot of people in the film are constantly telling you that Nimona is bad, even though as you get to know the character, you start to feel like she's pretty good. At the same time, she can be a little unsettling, because she has a big personality and a dangerous exterior. I also looked at King Kong, because Kong's such a soulful character that the world doesn't understand. In our film, the world is going after both Nimona and Ballister for similar reasons, but Nimona also has her own drive, which I won't reveal for those who haven't seen the movie. When you transition from one studio to another like you did here, moving from Fox and Blue Sky to Annapurna and Netflix, how does that affect your process as filmmakers? QUANE: Well, we went from a vertically integrated environment where every department was down the hall from each other and you could walk to a person's desk and ask, "Hey, how's it going?" to essentially a vendor-client situation. We went from having a lot of stuff built and ready to go that had been developed over years and years, to going to a new studio where 90 percent of the stuff we'd built didn’t translate. We had to start literally from scratch. DNEG Animation came on and they did an amazing job of rebuilding everything to try and maintain what we had, while also discovering their own version of everything. For us, as directors, the challenge became making sure that we didn't just keep pointing backward. We always say that our job is to talk a movie into existence and get people passionate enough to bring their own love and creativity to it. But if all you're doing is saying, "Copy this," no one can feel passionate about that. At the same time, we'd already found something we loved, so we really had to find a way to both direct a new crew toward what we'd already done and allow them to find their own passion and love for this film. We needed to make it something that is close to what we already had but also new and of itself. It was a really interesting journey. BRUNO: The weird thing is that while that all was challenging, that's also what we do. That's the job. The truly amazing thing was, when we found our new partners with Annapurna and Netflix, they fully supported what we were trying to do. We got to get an 800-pound gorilla off our back so that we could actually tell the story we wanted to tell. They really supported the themes that we wanted to explore. Writing and breaking a film's story is always the hardest part. That's the thing you're racking your brain about all day, so when you have genuine support, it becomes a whole lot easier. Even though we had to rebuild the whole movie, that was really the easy part. The hard part was getting to a place where we were able to tell the story that we wanted to tell. 
Nimona puts queer love at the front and center of its story. In animated movies, that still feels like an uncommon occurrence. Why was it important for you to spotlight queerness in animation?QUANE: Unfortunately, I think it is uncommon, and if it is shown, it always seems like the characters' central journeys involve them struggling with their sexuality. For us, the queer elements of Nimona are just so intrinsic to ND Stevenson's original graphic novel that they're a part of its DNA. We'd seen other attempts at adapting the graphic novel that tried to skirt around its queerness, and they just didn't work because it's so important to who the characters are and what the story is trying to say. Our job really became protecting that, being stewards for that truth, and reflecting what is, in all frankness, the reality of the world around us. We're not coming up with something groundbreaking in this film. We're just saying, "This is love. These are the relationships and people of this story. Just stop and see that." It's not some terrifyingly random or weird thing. Love is love. We also had a really great group of queer people at Blue Sky who would come in, have lunch with us, and share their experiences and their journeys with us. They were incredibly honest and courageous, and the stories they told were happy, funny, tragic, and contentious. It was our job to make sure we reflected the level of honesty they gave us, and a lot of that made it up onto the screen. Which is why I think the film resonates. It feels real in that sense. It feels like a real story is being told. BRUNO: One of the biggest things that we got from those conversations is also that, like the rest of us, all of those people grew up looking to animation as a guide to help them navigate the world. Unfortunately, for a long time, certain people have grown up with animated movies that say that the world doesn't include them. Those conversations really helped us realize how important it is to actually show the diversity of the world on-screen. It's everything. It's so incredibly important to do that, because if you don't show the world the way it is, it can make some kids think that there's something wrong with them, and that's unfair. "We don't tell stories about heterosexual couples struggling with their straightness. It's just accepted. Queerness is just accepted in Nimona." The movie deals with themes of cultural otherness that resonate deeply with the queer community, but it never makes its characters' sexualities the result or source of their problems. Can you talk about taking that approach for the film?BRUNO: I hope in a few years, people will be able to look at this movie and say, "Oh, Nimona's just a shapeshifter," and that'll seem like all the movie's about. Right now, it seems like we're saying something else because of the world we're in, but it's not actually, specifically, about queer ostracization. There's nothing wrong with being gay, so why paint a world where there is? Ultimately, the film is really about why no one should pass judgment on others out of fear or a lack of understanding. QUANE: We, as humans, will always find something to demonize, but we made a choice early on that the struggles the characters have in this film would have nothing to do with their sexuality. That's just who they are. We don't tell stories about heterosexual couples struggling with their straightness. It's just accepted. Queerness is just accepted in Nimona. To Nick's point, hopefully, in a couple of years, we'll have moved past this point in the conversation. That's not how queer characters need to always be represented. We can just be interested in their journeys as individuals rather than worrying about finding ways to dramatize their sexual identities. Last question: If you could program your dream double feature, what film would you pair Nimona with? BRUNO: Well, you win because that's the most unique question we’ve been asked on this press tour… Babe: Pig in the City? I'm just trying to think of what would make for the most random pairing, and that is a great movie. You know what, I’d pair it with King Kong. QUANE: Yeah, agreed. I think there are important ideas about judgment and acceptance in both films. By Alex Welch
| Sujet:La chronologie des médias | Nico543 Réponses: 310 Vues: 40381 | Rechercher dans: Sujet: La chronologie des médias Lun 3 Juil 2023 - 17:46 | "Premium" , "prix relativement haut", c'est clair, ils ont tout compris nos sénateurs, c'est clair que pour favoriser le piratage légal, augmentons le prix, c'est tout ce que le marché de la VOD français a besoin ! Ce type de proposition n'est pas sérieux, et prouve que ces personnes n'y connaissent rien du tout. Le marché français de la VOD n'a rien à voir avec le marché USA, il est très fragile et à énormément souffert des plateformes sVOD. En France, le prix maximum possible pour un film en VOD est fixé à 16,99euros... C'est déjà très cher, et en dehors de Disney, aucun distributeur n'ose l'utiliser aujourd'hui. Même en pleine pandémie, quand Warner Bros a lâché certains de ces films direct en VOD (Wonder Woman, Godzilla Vs Kong, Mortal Kombat ...), ils les ont proposé à 13,99euros (quand ils étaient vendus 35$ CAD au Canada, je suis bien placé pour le savoir). Tout simplement car ils avaient compris que c'était impossible à retranscrire en France... Et eux, ce qu'ils proposent ici quand je lis ton communiqué, c'est de certes, diminuer le temps d'attente pour la disponibilité en VOD (ce qui serait vraiment une bonne idée, il n'a aucun sens aujourd'hui), mais en échange d'un prix "relativement haut" et donc j'en conclu supérieur à 16,99euros, qui est le tarif actuellement. C'est une TRÈS mauvaise idée. Cela ne va absolument pas aider le consommateur (qui ici paye 17euros pour un film l'unité? Probablement pas grand monde.. Et ils pensent qu'on va payer plus, genre 19.99euros (au hasard), pour gagner 1mois? ), et surtout cela ne va absolument pas aider le marché de la VOD : dés sa mise en ligne sur ces plateformes, le film sera dispo en téléchargement illégal gratuitement. Pour favoriser le téléchargement légal (ou l'achat de DVD/Blu-Ray) il faut lui donner un avantage qui justifie que le consommateur accepte de payer plutôt que de choisir la facilité. Cela ne peut pas passer par un tarif élevé. Perso, j'accepte de payer une nouveauté 11.99-13.99euros, plutôt que d'aller sur des sites peu fiable. Pour 20euros, clairement, je prend le risque d'aller sur un site non fiable, désolé. De plus désolé mais les distributeurs sont libres de pratiquer les tarifs qu'ils souhaitent, aucunes lois ne doit décider de cela. Solution facile pour nos sénateurs : laissez les distributeurs gérer les sorties VOD/DVD/Blu-Ray comme ils le souhaitent et supprimer définitivement la chronologie des médias pour ces cas. La conserver pour les marchés diffusion TV et plateforme sVOD qui sont plus spécifiques. Je pense même que la vente en location pourrait être concerné par la loi (interdite avant un certain délai), afin de privilégier l'achat légal. La VOD et les DVD/Blu-Ray sont des marchés FRAGILE et en difficulté, cette loi pénalise tellement ces marchés... Les distributeurs ne sont pas stupide. Si le film marche au cinema, ils repousseront d'eux même la sortie VOD/DVD/Blu-Ray (Avatar 2, ou Spider-Man No Way Home qui ont étais repoussé y compris aux USA). Cette loi est totalement inutile et ne sert strictement à rien. Et cette proposition provient de personnes qui n'ont aucune idée de ce que c'est d'acheter un film en VOD, DVD ou Blu-Ray. | Sujet:Percy Jackson et les Olympiens [20th Television/Disney - 2023] | Flounder69 Réponses: 97 Vues: 24104 | Rechercher dans:Les Séries Live Action Sujet: Percy Jackson et les Olympiens [20th Television/Disney - 2023] Jeu 26 Jan 2023 - 20:10 | Lance Reddick sera Zeus, et Toby Stephens incarnera Poséidon. 
- Variety a écrit:
- ‘Percy Jackson’ Disney+ Series Casts Lance Reddick, Toby Stephens (EXCLUSIVE)
The “Percy Jackson and the Olympians” series at Disney+ has added Lance Reddick and Toby Stephens to its cast as two major gods, Variety has learned exclusively. Reddick will guest star as Zeus, while Stephens will guest star as Poseidon. The pair will appear in the series alongside Walker Scobell as Percy as well as Aryan Simhadri as Grover and Leah Sava Jeffries as Annabeth. Additional cast members include Virginia Kull, Glynn Turman, Jason Mantzoukas, Megan Mullally and Timm Sharp as well as Dior Goodjohn, Olivea Morton, Charlie Bushnell, Adam Copeland, Suzanne Cryer, Jessica Parker Kennedy, Lin-Manuel Miranda, Timothy Omundsen, and Jay Duplass. Poseidon is the god of the sea and Percy’s father. Per his official character description, “Although seemingly absent in Percy’s life, many of Poseidon’s qualities live in Percy; stubbornness, impulsiveness and loyalty. Though he has stayed away throughout Percy’s life, his deep feelings for his son (and Percy’s mother, Sally) are evident. Zeus is described as “The all-powerful god of the sky and leader of Mount Olympus, Zeus is tempestuous and mistrustful. He’s promised to wage a war if his stolen thunderbolt is not returned.” Reddick is best known for his starring role in the hit HBO series “The Wire” as well as his role as Charon in the “John Wick” film franchise. His recent credits include the “Resident Evil” series at Netflix and a seven-season run on the Amazon police drama “Bosch.” His other film credits include “One Night in Miami,” “Angel Has Fallen,” and “Godzilla vs. Kong.” He has also lent his voice to several popular video games like “Destiny 2” and “Horizon Zero Dawn.” He is repped by CAA, Grandview, and attorney James E. Hornstein. Stephens has recently starred in shows like the second season of “Alex Rider” at Amazon, the reboot of “Lost in Space” at Netflix, and the Starz historical drama “Black Sails.” He has also starred in films like “Hunter Killer,” “13 Hours,” and the James Bond film “Die Another Day.” He would later voice Bond in a number of BBC Radio productions based on Ian Fleming’s novels like “Dr. No,” “Goldfinger,” and “Diamonds Are Forever.” He is repped by United Agents and Gersh. Based on the Rick Riordan book series of the same name, “Percy Jackson and the Olympians” follows the titular 12-year old demi-god as he is “just coming to terms with his newfound divine powers when the sky god Zeus accuses him of stealing his master lightning bolt,” the logline states. “With help from his friends Grover and Annabeth, Percy must embark on an adventure of a lifetime to find it and restore order to Olympus.” The Disney Branded Television series is currently in production in Vancouver. Riordan and Jon Steinberg are writing the pilot with James Bobin directing. Steinberg and his producing partner Dan Shotz are overseeing the series and serve as executive producers alongside Bobin, Rick Riordan, Rebecca Riordan, Bert Salke, Monica Owusu-Breen, Jim Rowe, Anders Engström, Jet Wilkinson, and Gotham Group’s Ellen Goldsmith-Vein, Jeremy Bell, and D.J. Goldberg. 20th Television is the studio.
| Sujet:Max [Plateforme de streaming - 2023] | Flounder69 Réponses: 35 Vues: 8880 | Rechercher dans: Sujet: Max [Plateforme de streaming - 2023] Ven 5 Aoû 2022 - 0:35 | Dans le cadre d'une présentation pour la presse et les actionnaires, Warner Bros. Discovery a annoncé ses plans pour le futur de sa plateforme de streaming : HBO Max sera prochainement remplacée par une nouvelle plateforme mêlant son contenu avec Discovery+, qui disparaitra également. Le nouveau nom n'a pas été communiqué. Cette nouvelle plateforme arrivera à l'été 2023 aux US, puis début 2024 en Europe. - Variety a écrit:
HBO Max, Discovery+ to Merge Into Single Streaming Platform Starting in Summer 2023 Is the whole of a combined HBO Max-Discovery+ greater than its streaming parts? Warner Bros. Discovery is going to find out next year.The media company announced a timeline for the two services to be fused together: HBO Max and Discovery+ will launch in the U.S. as a single service in the summer of 2023, according to JB Perrette, CEO and president of global streaming and interactive for Warner Bros. Discovery, speaking on the company’s Q2 earnings call. “At the end of the day, putting all the content together was the only way we saw to make this a viable business,” Perrette told analysts. Bringing HBO Max and Discovery+ together is aimed at cutting churn so “there’s something for everyone in the household,” he said. WBD did not announce what the new brand name for the merged service will be, nor did execs discuss pricing for the unified streamer. Warner Bros. Discovery is initially focused on the ad-supported and ad-free versions of the combined HBO Max-Discovery+, Perrette said, but is also “exploring how to reach customers in the free, ad-supported space” with content that is totally different from what’s on the premium VOD services. HBO may or may not be part of the name of the unified direct-to-consumer WBD platform; Perrette said he company is doing research on consumer perception of the HBO Max name. But, HBO will continue to be a major brand: “HBO will always be the beacon and the ultimate brand that stands for television quality,” he said on the call. The merged HBO Max-Discovery+ will combine the best elements of both services, said Perrette. He said HBO Max has had “performance and customer” issues but offers a rich set of features; Discovery+ has more limited features but provides a more robust underlying delivery capability. After the summer 2023 rollout in the United States, WBD plans to take the unified HBO Max-Discovery+ platform to Latin America in the fall of 2023; Europe in early 2024; Asia Pacific in mid-2024; and additional markets in fall 2024. In the second quarter, WBD’s HBO Max, HBO and Discovery+ subscribers combined were 92.1 million, up 1.7 million from 90.4 million the prior quarter. That’s up 22% 75.8 million on a pro-forma basis versus a year earlier. By 2025, WBD expects to have 130 million global streaming subscribers and that its direct-to-consumer businesses will generate $1 billion in earnings before interest, taxes, depreciation and amortization (EBITDA). Perrette said the company expects EBITDA losses for the streaming division to peak in 2022, with long-term margin potential of 20% or more. Currently, HBO Max is available for $14.99/month without ads and $9.99/month with ads in the U.S. Discovery+ is priced at $6.99/month without ads and $4.99/month with ads. The company previously announced intentions to combine the two flagship streaming platforms — HBO Max from the legacy WarnerMedia (spun off from AT&T) and Discovery’s Discovery+. Ahead of the close of the deal forming Warner Bros. Discovery, CFO Gunnar Wiedenfels in March broadly sketched out a strategy to combine the streamers, saying that initially it would sell the pair as a bundle before fully integrating them. The merged HBO Max-Discovery+ will smash together thousands of hours of programming, a disparate slate spanning scripted, reality and documentary content — and will look a bit like a mini cable TV bundle. WBD took a step Thursday toward unifying HBO Max and Discovery+ on the content side, announcing that Chip and Joanna Gaines’ Magnolia Network programming will be coming to HBO Max this September (while remaining on Discovery+).
Warner Bros. Discovery a également annoncé qu'ils allaient concentrer leurs films pour le cinéma. - Deadline a écrit:
Warner Bros Discovery CEO David Zaslav: “We Will Fully Embrace Theatrical” In a complete about-face from the business strategy employed by former WarnerMedia CEO Jason Kilar, Warner Bros. Discovery boss David Zaslav made it firm today that the new merged entertainment conglomerate “will fully embrace theatrical.” Period.“We have a different view on the wisdom of releasing direct-to-streaming films, and we have taken some aggressive steps to course-correct the previous strategy,” Zaslav said about on the previous 2021 pandemic model that was implemented to spike HBO Max subs. he CEO expressed his belief in the theatrical window business model today on the conglom’s Q2 earnings call. No theatrical day-and-date experimentation with the HBO Max streaming service, nada. And as we’ve seen recently, Zaslav has gone to great lengths to course-correct the previous administration’s production plan to make movies straight for the streaming service, pulling the plug on the $70M Batgirl, which was in post-production, and Scoob! Holiday Haunt. Zaslav even put the brakes on a DC HBO Max movie centering around the Wonder Twins starring Riverdale‘s KJ Apa. Warner Discovery CFO Gunnar Wiedenfels gave a shout-out to that trio of films on the earnings call, saying that they’re “examples that don’t fit in the streaming approach.” “For example, we will fully embrace the attributes as we believe it creates interest and demand provides a great marketing tailwind, and generates word-of-mouth buzz as films transition to streaming and beyond,” Zaslav said about the theatrical window model and its downstream ancillaries. “When you’re in theaters, the value of the content and the overall viewing experience is elevated.” He added: “Then when the same content moves to PVOD, and then streaming it is elevated again. As films moved from one window to the next, their overall value is elevated, elevated, elevated. We saw this clearly demonstrated with the Batman and Elvis.” Batman, the first movie that returned Warners to a purse theatrical release strategy after its 2021 experiment, went on to gross $369.3M domestic and $771M worldwide. Meanwhile, Baz Luhrmann’s Elvis has brought adults back during the Covid era in a big way, earning $131M domestic, $237M global. “With respect to streaming, our main priority right now is launching an integrated SVOD service,” said Zaslav. “There’s been a lot of experimentation in our industry and we are all smarter for it. At Warner Bros. Discovery we believe strongly in the importance of preserving optionality and driving returns to a strategic mix of distribution and windowing options,” said the CEO. The theatrical day-and-date pandemic plan — whereby movies played in theaters simultaneously on HBO Max during their first 28 days (before going completely theatrical in their second month) — began with Wonder Woman 1984 on Christmas 2020, when a majority of cinemas, including the NYC and LA theaters were shuttered. The grosses, natch, were horrible with $46M domestic and under $170M global. However, even when theaters greatly reopened during Q2 2021, and other studios returned to a theatrical model, Warners continued with its day-and-date model on HBO Max, which did zero favors for movies at the box office: James Gunn’s DC title The Suicide Squad died with $55.8M stateside vs. the previous installment’s $325.1M domestic gross. Only two movies made it past $100M in U.S./Canada — Dune and Godzilla vs. Kong — and the greater industry thinking is that these movies could have grosses substantially more despite Kilar and Co’s pom-poming that the business decision spike HBO Max subs.
Le cas de DC Comics a également été évoqué : un plan pour les 10 prochaines années est sur le point d'être finalisé, et DC Films sera considéré comme un studio à part entière. David Zaslav a déclaré que le studio ne sortira "pas de film non capable d'atteindre les succès auxquels l'enseigne s'attend", que le but est d'amplifier la marque DC et de la "protéger". Batgirl, qui a été annulé à la surprise générale (alors que le film était en post-production), ne conviendrait pas à ces plans, tandis que The Batman serait un exemple à suivre. | Sujet: | WDW83 Réponses: 990 Vues: 159454 | Rechercher dans:Disneyland Paris Sujet: Lun 4 Juil 2022 - 11:37 | @Parktam Alors AUCUN Super Nintendo World n'a été construit à Beijing et il est très probable qu'on en aura jamais dans ce parc vu la réticence de l'administration de Pékin à célébrer, sur leur propre sol, la Pop Culture japonaise. Comparer la situation de Disney à celle de Universal n'est vraiment pas très judicieuse : Universal Studios Singapore qui attend depuis 2009 une expansion d'envergure a vu son extension repoussée deux fois depuis son annonce, il y a deux/trois ans de cela. Ils devaient originellement avoir un land Minion et un land Super Nintendo. Ces derniers mois, ils ne font même plus mention de Mario et de ses potes, sans donner pour autant la moindre explication. Ils essaient désormais d'exciter leur fan base en essayant de leur vendre cette pauvre attraction des Minions, déjà construite partout à travers le monde, et qui est ni plus ni moins un vieux simulateur que même le Futuroscope aurait honte de proposer à son public en 2022. Universal Studios Beijing à été un échec, mis à part Jurassic World Adventure, ce parc est un enchaînement d'attractions déjà présentes dans les autres Parcs Universal et qui n'ont pas super bien vieillies depuis, les intrusions visuelles se comptent par centaines et l'ambiance n'est pas là. Pour Universal Studios Hollywood, si en 2016 ils ont pu faire de grands travaux : the Wizarding World of Harry Potter, Springfield et la nouvelle séquence d'entrée- depuis on a eu quoi ? Une rethéma partielle de l'attraction Jurassic Park en Jurassic World qui a été une bonne excuse pour remplacer les AA de dinosaures négligés au profit d'écrans à gogo...Et, on a eu ce p'tit Dark Ride sympathique sur l'une des plus ennuyeuses franchises d'Universal : Secret Life of Pets-pour lequel on a du détruire le Globe Theater... Alors certes, ils vont avoir leur mini land Super Nintendo avec seulement l'attraction Mario Kart et peut-être le petit coaster Fast and Furious, eh oui encore cette franchise de beaufs.. Mais franchement il n'y a rien de spectaculaire... Universal Japan semblent, eux, assez occupés à se demander comment bidouiller leur attraction Spider-Man pour y fouttre du Pokémon... Le seul et unique parc Universal qui m'impressionne en terme de développement c'est celui d'Orlando qui après des bouses comme Jimmy Fallon et King Kong ont réussi à construire à la suite deux excellents coasters et s'apprêtent à ouvrir un parc très sympa en 2025. Soyons toutefois honnête, quand tu regardes les investissements de WDW depuis 2014, tu ne peux pas dire qu'ils n'ont pas été gâtés. Ils ont eu deux fois plus de nouveauté que leur concurrent Universal sur un même laps de temps. Tu regardes Mickey Views mdr, ce type passe sa journée à dire que Disney c'est nul et que Bob Chapek est horrible pourtant il a emménagé à Orlando il y a deux ans pour consacrer chacune de ses petites journées à critiquer la gestion des Parcs en étant... dans les Parcs. Il fait des vlogs à Orlando, en disant qu'Epcot c'est plus que c'était alors qu'il n'a jamais connu cet Epcot "d'avant". Il récite tous les jours son petit credo : "Food Rocks, Horizons et World of Motion me manquent et toutes les neveautés, x'est de la m****" alors qu'étant donné son âge, il n'a pu faire ces attractions qu'en regardant des vidéos YouTube de piètre qualité... Tu peux encore attendre Universal Studios en Europe pendant de longues années, entre-temps le futur (petit) parc de Béziers a signé des contrats avec Ubisoft et Legendary Pictures (King Kong, Dunes, Godzilla, etc.). Le résultat devrait être intéressant s'il se concrétise. Et puis, on a vu à quel point il devenait compliqué, aujourd'hui, de créer de grands parcs à thème en Europe sans avoir les écolos sur le dos : The London Resort, Europa city,usw En bref, arrêtez d'être pessimistes et relativisez un p'tit peu avant de verser vos grosses larmes de crocodile sur votre clavier: "que sera, sera". | | | "; renderedElement = document.body.insertBefore(element, document.body.firstChild); renderedWidth = renderedElement.offsetWidth; renderedHeight = renderedElement.offsetHeight; overFlowX = x + renderedWidth + excessWidth - document.body.offsetWidth; x = overFlowX > 0 ? x - overFlowX : x; overFlowY = y + renderedHeight + excessHeight - window.innerHeight - window.pageYOffset; y = overFlowY > 0 ? y - overFlowY : y; renderedElement.style.top = (y + 15) + "px"; renderedElement.style.left = (x + 15) + "px"; if (agt.indexOf("gecko") != -1 && agt.indexOf("win") != -1) { setTimeout('renderedElement.style.visibility = "visible"', 1); } else { renderedElement.style.visibility = "visible"; } }}function Pagination(){}function do_pagination_start(){ var start = document.go_page.start.value; start = (start > 8) ? 8 : start; start = (start - 1) * 25; start = (isNaN(start) || start < 0 ) ? 0 : start;self.location.href = ['','search?mode=searchbox&search_id=1935177737&search_keywords=videa godzilla&show_results=posts&start='+start+''].join('/');}function destroyPagination(){ if (document.body.firstChild != originalFirstChild) { document.body.removeChild(document.body.firstChild); }}//]]>Aller à la page : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 |